Gilda Piersanti a réussi un nouveau tour de force. La narration à la première personne est très troublante, on se retrouve prisonnier dans la tête d’un tueur en série.
Une écriture riche au rythme soutenu, des phrases en italien insérées dans le texte amènent une véritable musicalité, le texte semble prendre vie sous les yeux du lecteur