DOA est fidèle à lui-même et nous retrouvons la même verve que dans « Citoyen Clandestin ». Toutes les situations sont terriblement réalistes, détaillées, explicitées.
Dans un cercle de jeux clandestin... Un journaliste tente de percer la noirceur de la ville, mais il semble qu’il n’est pas prêt pour de telles révélations.