Avec Porn Food Scandal, Sébastien nous plonge dans ce monde de l’art contemporain et de la pop culture
Présentation Éditeur
Quand Sébastien Gendron entre au lycée, il prend option arts plastiques.
Aïe ! C’est à partir de là que Porn food scandal commence à s’écrire et le jeune Seb ne le sait même pas. C’est la rencontre avec une œuvre de Daniel Spoerri, Le Déjeuner sous l’herbe qui va tout déclencher … après avoir vu ça, Sébastien qui traverses les années 80 en adolescent, se dit que l’art contemporain est une mine pour ceux qui rêvent de faire n’importe quoi dans la joie et la frivolité et d’avoir leur quart d’heure de gloire comme dit Andy.
Avec son Petit Écart, Sébastien nous plonge dans ce monde de l’art contemporain et de la pop culture où l’on croise Barbie, Ken et leur camping-car, Otto Dix et sa Sylvia, Brian de Palma et sa Carrie mais aussi Basquiat, Warhol, David Bowie, Audrey Hepburn et Art Spiegelman. En poussant le curseur de la fiction jusqu’à l’absurde il fait de son personnage principal une œuvre absolue … mais est-ce vraiment le personnage principal ?
L'avis de Stanislas Petrosky
L’art contemporain peut parfois prêter à rire, il y a certaines œuvres que certains qualifient de foutage de gueule – nous resterons poli – et d’autres de performances…
Ensuite, les goûts et les couleurs, hein, il en faut pour tout le monde.
Cependant, c’est un sujet que Gendron ne pouvait louper pour faire court texte cynique, limite pamphlétaire, mais drôle et réussi.
Il a l’artiste, l’agente, le journaliste et le bousier…
Jouer avec l’art contemporain et certains de ses abus, un exercice de style dans lequel Gendron excelle, logique il aime tant se moquer des petits défauts de ses contemporains.