Trois femmes froidement assassinées. Et sur elles, à chaque fois, une lettre mise en évidence. Une lettre d’adieu. Une lettre écrite par leur meurtrier.
Quelle splendeur ! Alec n'en croit pas ses yeux : il a devant lui un animal gigantesque, d'une puissance extraordinaire, noir comme l'ébène. La bête se cabre et se débat furieusement contre les hommes qui s'efforcent de la maîtriser...
Estelle Valls de Gomis a glissé un grand nombre de références et de clins d’œil mais si savamment discrets qu’ils n’alourdissent absolument pas ni le texte ni l’intrigue.