Tag: Editions Métailié
Chris BROOKMYRE : Sombre avec moi
Chris Brookmyre construit une intrigue bluffante et pleine de twists, un thriller psychologique intense
Selva ALMADA : Sous la grande roue
Tragédie rurale au cordeau dans la grande tradition américaine : le deuxième roman de Selva Almada, d’une jeune romancière argentine qui a un talent fou.
Giancarlo DE CATALDO : L’agent du chaos
La véritable histoire de Jay Dark, agent de la CIA chargé de répandre les nouvelles drogues des années 70 dans les mouvements de contestation étudiants.
Leonardo PADURA : La transparence du temps
Un voyage éblouissant dans le temps et dans l'histoire porté par un grand roman plein d'humour noir et de mélancolie.
Lilja SIGURDARDOTTIR : Reykjavik noir – 03 – La cage
Lilja Sigurdardóttir nous initie aux trafics des matières premières et aux dessous du transport de la drogue en Islande
Elsa OSORIO : Double fond
Le lecteur devient l’ombre de la journaliste Marie, il avance, il tâtonne, il découvre l’histoire de l’Argentine, riche et complexe.
Arnaldur INDRIDASON : Ce que savait la nuit
Arnaldur Indridason se place ici dans la lignée de Simenon, avec la construction d’un environnement social et affectif soigné et captivant. Un beau roman noir sensible aux rebondissements surprenants.
Juan Carlos MÉNDEZ GUÉDEZ : Les valises
Oscillant sans cesse entre le roman noir et l’épopée kafkaïenne, Méndez Guédez nous plonge avec ses deux losers dans un monde où la réalité est toujours plus délirante que n’importe quelle fiction.
Klester CAVALCANTI : 492, confession d’un tueur à gages
Pour la première fois, un reportage raconte, avec un grand talent littéraire, la vie surprenante d’un homme qui est devenu le plus grand tueur professionnel connu au monde.
Santiago GAMBOA : Perdre est une question de méthode
L'enquête d'un détective, aidé d'une prostituée, dans les bas-fonds de Bogota.
Luis SEPÚLVEDA : La fin de l’histoire
De la Russie de Trotski au Chili de Pinochet, de l’Allemagne d’Hitler à la Patagonie d’aujourd’hui, La Fin de l’histoire traverse le XXe siècle tout entier.
Arnaldur INDRIDASON : BETTY
Dans ma cellule je pense à elle, Bettý, si belle, si libre, qui s’avançait vers moi à ce colloque pour me dire son admiration pour ma conférence.