Terminal mortuaire, Jean-Noël Levavasseur a su aborder avec intelligence et subtilité un thème d’actualité qui n’est pas facile à traiter : celui des migrants.
Eté 1989, une seule survivante : Clotilde, quinze ans. Ses parents et son frère sont morts sous ses yeux. Eté 2016, Clotilde reçoit une lettre signée de sa mère.