Présentation Éditeur
L’inspectrice Sarah Geringën enquête sur la mort suspecte d’un patient d’un hôpital psychiatrique. La victime a gravé sur le front le chiffre 488 et les conclusions des légistes sont sans appel : l’homme est mort de peur !
Inspiré par des découvertes scientifiques et des faits réels, Le Cri est un thriller sur la folie des hommes et le danger d’une science dévoyée, transformée en arme fatale.
Il s’agit du premier livre adapté de la trilogie de Nicolas Beuglet dont Sarah Geringën est l’héroïne : Le cri (2016), Complot (2018), L’Ile du Diable (2019)
Qui est Sarah Geringën ?
Sarah Geringën est une ancienne membre des forces spéciales, désormais inspectrice norvégienne d’Oslo. Bientôt la quarantaine, rousse, athlétique, et réputée pour son intimidante froideur dans le cadre professionnel, c’est une femme qui ne serre jamais la main pour ne pas créer de liens avec ceux qu’elle interroge.
Inspiré par des découvertes scientifiques et des événements réels, Le Cri renvoie à nos peurs les plus intérieures. Un thriller sur la folie des hommes et le danger d’une science dévoyée, transformée en arme fatale.
Ce récit tient formidablement en haleine le lecteur, qui l’interpelle aussi sur de grands sujets existentiels : l’origine et l’avenir de l’humanité, la science, la folie des hommes qui jouent aux apprentis sorciers…
Origine | |
Éditions | Phileas |
Date | 7 septembre 2023 |
Pages | 152 |
ISBN | 9782491467326 |
Prix | 21,90 € |
A savoir...
- Courses contre la montre au coeur de la machine cérébrale et scientifique, menaces, secrets, tueries macabres, une enquête menée tambour battant, pour les amateurs d’action intensive et de révélations troublantes sur les dérives de la science et ses détournements.
- Un vrai documentaire : on y apprend très clairement que pendant plus de vingt ans, la CIA et le FBI, de façon totalement illégale, ont utilisé des millions de dollars de leur budget pour réaliser des expériences visant à influencer et à contrôler l’esprit. Mais il est avéré qu’avant l’arrivée de la commission d’enquête, certaines archives ont été détruites. Et on ne saura jamais ce qu’il y avait dedans. C’est cette lacune qui a inspiré le « projet 488 ».