Avec La Nuit d’avant, Wendy Walker aborde des zones de la psyché humaine où peu d’auteurs de thrillers psychologiques osent s’aventurer.
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Après un rendez-vous galant, Laura disparaît. Ses proches s’inquiètent. Mais est-ce pour elle ou pour l’homme qu’elle a rencontré ?
Le cœur brisé à 28 ans, Laura refuse de sombrer. Elle décide de tourner la page en se créant un profil sur un site de rencontres. Un premier rendez-vous est pris. Jonathan Fields, 40 ans, séduisant, fraîchement divorcé. Pour le rencontrer, Laura part avec le mini van de sa sœur, Rosie, et l’une de ses robes. Elle sera, promet-elle, de retour le soir même. Le lendemain matin, elle n’est toujours pas rentrée.
Pour les proches de Laura, sa disparition ravive des angoisses passées, des questions non résolues, et surtout celle-ci, presque inavouable : de Jonathan ou de Laura, qui est réellement en danger ?
En raconter plus serait criminel. Disons juste qu’un événement particulièrement traumatisant survenu lors de son adolescence a sérieusement ébranlé l’inconscient de Laura, et qu’elle est loin de faire une victime idéale. Avec La Nuit d’avant, Wendy Walker aborde des zones de la psyché humaine où peu d’auteurs de thrillers psychologiques osent s’aventurer. Après Tout n’est pas perdu, dont les droits audiovisuels ont été achetés par les producteurs de Gone Girl, elle embarque à nouveau le lecteur dans un grand huit émotionnel aussi terrifiant que jouissif. Et cette fois, la tension monte encore d’un cran.
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