Mort d'un pourri, une fois de plus Vallet s’attaque à la corruption, vilaines « petites » magouilles de ces grands messieurs. Il le fait avec cynisme et humour noir.
À la veille de Noël, le suicide collectif dans un centre commercial d'individus apparemment étrangers les uns aux autres, voilà de quoi attirer les médias charognards.
Colson Whitehead offre ici un palpitant conte de terreur, dont la noirceur et la tension permanente sont accentuées par un humour macabre et sardonique