Présentation Éditeur
La vengeance de deux pères unanimement acclamée par la presse américaine. Un état des lieux sans concession de l’Amérique des marges dans un thriller sous pression
Ike Randolph est noir. Buddy Lee Jenkins est blanc. En Virginie-Occidentale, cela revient à dire que tout les oppose. Ils ont pourtant été tous les deux pareillement lamentables en dénigrant avec la même violence l’homosexualité de leurs fils, maintenant mariés l’un à l’autre. Alors, quand Isiah et Derek sont assassinés, la douleur a un goût de culpabilité. Qui a tôt fait de se transformer en colère, une colère viscérale, qui réclame un exutoire.
L'avis de Stanisals Petrosky
Il y a des livres – c’est assez rare tout de même – quand tu te plonges dans leur lecture, tu les imagines en film, enfin non, pour ma part, j’imagine untel aux commandes de la réal. C’est bizarre, je sais, maos ça m’arrive parfois. Et là, crois-moi ou pas, ben je voyais Dieu…
Ah oui, faut que je te dise, on est quelques-uns à se dire que Dieu, c’est Clint Eastwood, enfin bref, je voyais le grand Clint en faire film…
Mais revenons au principal, le livre !
Une histoire de vengeance…
Encore tu vas me dire ? Ben oui je te répondrais, sauf que là, derrière cette histoire de vengeance, il y a la culpabilité de deux pères, les remords, les regrets. Il y a deux pères qui se mettent à comprendre – enfin – leurs fils quand ils ont été lâchement assassinés. Alors, les deux darons décident de faire acte de rédemption en partant à la recherche des coupables, et ce, sans prendre véritablement des pincettes.
Il y a aussi deux pères qui s’étaient assagi, mais qui avait un sacré passif.
Il y a des sujets de société qui magnifiquement traités, il y a une violence qui surgit des entrailles de deux hommes blessés, il y a tout pour faire ce que j’appelle un grand livre.
À lire…
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