Henri LOEVENBRUCK : Nous rêvons juste de liberté

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Henri LOEVENBRUCK pose là des questions importantes sur la Liberté et le sens que  chacun lui accorde ! Beaucoup d’émotions dans un livre rare et intense…

Henri LOEVENBRUCK : Nous rêvons juste de liberté
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  • Editions Flammarion en avril 2015
  • Éditions J’ai Lu le 29 mars 2017
  • Pages : 384
  • ISBN : 9782290119075
  • Prix : 8,10 €

PRÉSENTATION ÉDITEUR

«Nous avions à peine vingt ans et nous rêvions juste de liberté.» Ce rêve, la bande d’Hugo va l’exaucer en fuyant la petite ville de Providence pour traverser le pays à moto. Ensemble, ils vont former un clan où l’indépendance et l’amitié règnent en maîtres. Ensemble ils vont, pour le meilleur et pour le pire, découvrir que la liberté se paie cher. Nous rêvions juste de liberté réussit le tour de force d’être à la fois un roman initiatique, une fable sur l’amitié en même temps que le récit d’une aventure.

Avec ce livre d’un nouveau genre, Henri Loevenbruck met toute la vitalité de son écriture au service de ce road-movie fraternel et exalté.

L’AVIS DE STANISLAS PETROSKY

Ce n’est pas souvent qu’un livre te fout une claque dans la gueule…

Je sais, je suis grossier, c’est comme ça, c’est bien parfois la grossièreté, puis là, vu que c’est une vraie putain de claque dans la gueule, c’est mérité !

Je ne sais même pas comment t’en parler ?

C’est simple, Henri, il a mis un coup de kick, la bécane a démarré, il est devenu Bohème, toi, je ne sais pas si tu étais la Fouine, Oscar ou un autre, mais tu étais là, perché sur une selle de cuir qui te tannait le cul. Le trèpe dans les cheveux, tu te sentais aspiré par le vent de liberté que t’offrais Henri.

Ah ce que tu étais bien, t’oubliais tous tes emmerdes, t’avais une banane mon pote, tu venais de tomber dans un roman antidépresseur !

En pleine poire tu as repris des bouts de ta jeunesse, celle qui tu as vécu, ou celle que tu aurais rêvé avoir !
Tu as bouffé de l’asphalte, les reins en compote, le soleil qui te brûlait la peau, te faisait plisser les yeux, mais tu en voulais encore plus, alors tu tournais la poignée des gaz, tu filais comme un fou sur la route, avec des méchants riffs de gratte dans les esgourdes.
Vache tu t’en souviens comme c’était bon ?

Pour une fois tu ne voulais pas tourner les pages du bouquin, tu voulais continuer de t’évader de ton quotidien, toi qui es rentré dans le rang… comme nous tous…

Puis il a bien fallu le finir ce livre, prendre une dernière claque, filée par Henri him-self, la pogne pleine de bagouses, ça pique…

Après, t’ose même pas le ranger le book, non, tu le laisses un peu, beaucoup, sur ton bureau, histoire de te tirer de temps à autre en relisant quelques pages…

Nous rêvions juste de liberté ce n’est pas un bon livre, non, c’est DÉJÀ un livre culte !

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Stanislas PETROSKY
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