

- Éditions 10/18 le 18 octobre 2018
- Traduit par Nicolas Gilles et Serge Chwat
- Pages : 864
- ISBN : 9782264073938
- Prix : 15,90 €
PRÉSENTATION ÉDITEUR
Tome regroupant les trois premières enquêtes de Frère Cadfael : Trafic de reliques, Un cadavre de trop, Le capuchon du moine.
Angleterre, XIIe siècle. À l’abbaye bénédictine Saint-Pierre et Saint-Paul de Shrewsbury, frère Cadfael exerce les fonctions d’herboriste. Qui pourrait deviner que ce pieux gallois d’une cinquantaine d’années, tout absorbé par son carré de simples, est un ancien héros des croisades, entré dans Antioche aux côtés de Godefroy de Bouillon ? Un homme qui a voyagé : Venise, Chypre, la Terre sainte ; un homme qui a aimé, Bianca la Vénitienne, Mariam La Sarrasine, Ariane la Grecque… et qui a décidé de se retirer parmi les plantes d’une abbaye pour finir paisiblement sa vie. Mais entre une bataille pour des reliques sacrées, un cadavre de trop découvert parmi les des fidèles de l’impératrice Mathilde, exécutés en pleine guerre civile pour la conquête de la couronne d’Angleterre ou l’empoisonnement d’un hôte du monastère, la paix est loin de régner à Shrewsbury…
Trafic de reliques
Frère Cadfael fait partie d’une délégation religieuse qui se rend au Pays de Galles pour ramener à l’abbaye bénédictine de Shrewsbury les reliques de Sainte Winifred. Les tractations avec les Gallois sont difficiles. Pendant le séjour, Rhisiard, leader de l’opposition au transfert, est assassiné. Immédiatement son pauvre serviteur, anglais et amoureux transi de sa fille, est désigné coupable. Ce n’est pas l’avis de Frère Cadfael qui va apporter son aide à cet homme malheureux que le destin accable.
Un cadavre de trop
En août 1138, Étienne de Blois et Mathilde l’Emperesse se disputent le trône d’Angleterre. Malheur aux vaincus qui seront pendus haut et cour ! Le soin d’enterrer les morts échoit aux moines de l’abbaye de Shrewsbury, mais Frère Cadfael constate avec stupeur qu’il y a un cadavre de trop. Qui plus est, les traces que porte ce corps sont différentes de celles que laisse une exécution par pendaison…
Le capuchon du moine
La racine du capuchon du moine est le nom d’un onguent merveilleux pour le traitement des rhumatismes. C’est aussi un poison très dangereux si on l’avale. Et il en faut très peu pour tuer son homme : Maître Bonnel vient d’en faire les frais. Peu après avoir légué ses terres à l’abbaye de Shrewsbury en échange d’une retraite chez les frères, on l’a retrouvé mort. Verdict : empoisonnement à la racine de capuchon du moine, dérobée chez Frère Cadfael. L’accord du leg n’ayant pas été ratifié, il devient caduc. Les héritiers deviennent donc les principaux suspects. Il faudra tous les talents de déduction de frère Cadfael pour résoudre ce crime presque parfait…
L’AVIS
Prochainement…