INFOS ÉDITEUR
Parution aux éditions Sonatine en avril 2011 Parution aux éditions Pocket en juin 2012 Traduit par Elodie LEPLAT Vous aimez l’atmosphère de Six Feet Under, la folie de Dexter, l’humour décapant de Dr House ? Essayez Je ne suis pas un serial killer… John Wayne Cleaver est un jeune homme potentiellement dangereux. Très dangereux. Jugez-en plutôt : garçon renfermé, pour ne pas dire sociopathe, il vit au milieu des cadavres à la morgue locale, tenue par sa mère et sa tante, il a une certaine tendance à tuer les animaux et, depuis son plus jeune âge, il nourrit une véritable passion pour les tueurs en série. Ainsi, son destin semble tout tracé. Mais, conscient de son cas, John a décidé d’en parler à un psy et de respecter quelques règles très précises. Ne nourrir que des pensées positives. Ne pas s’approcher des animaux. Éviter les scènes de crime. Ce dernier commandement va néanmoins devenir très difficile à suivre lorsqu’on retrouve autour de chez lui plusieurs corps atrocement mutilés. Y aurait-il plus dangereux encore que John dans cette petite ville tranquille ? Aurait-il enfin trouvé un adversaire à sa taille ? (Source : Pocket – Pages : 312 – ISBN : 978-2266221023 – Prix : 6,95 €) |
L’AVIS DE JUSTINE
De Dan Wells, j’ai déjà lu les deux premiers volets de la saga « Partials » , que je trouve très bonne. J’ai voulu essayer une autre de ses séries, cette fois-ci plus adulte et surtout thriller plutôt que dystopie / post apocalyptique. Enfin, thriller fantastique tout de même, un des genres que je préfère 🙂
Au final, j’ai passé un bon moment de lecture mais je m’attendais franchement à mieux. Déjà parce que justement, j’adore les thrillers fantastiques mais là, je n’ai pas trouvé le côté surnaturel bien intégré à l’intrigue, ça n’apportait rien et l’auteur aurait pu rester sur la trame d’un thriller classique. Ensuite, parce que 300 pages, c’est vraiment très court, le côté fantastique aurait pu être mieux travaillé si le roman avait fait 100 ou 200 pages supplémentaires.
A part ça, j’ai beaucoup aimé les passages de John chez son psy et le côté « vis ma vie d’adolescent dans un salon funéraire ». Les aspects de la vie de thanatopracteur sont très intéressants et m’ont appris des choses sur le métier. Dans l’ensemble, il y a un sacré mix d’influences, entre Six feet under et Dexter notamment. On s’attache malgré nous au personnage de John, sociopathe qui tente de contrôler ses pulsions meurtrières. Pourtant, à aucun moment je n’ai été fébrile en tournant les pages, je n’ai jamais été prise complètement dans le récit.
En bref, une lecture sympa mais sans plus.
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