INFOS ÉDITEUR
Parution aux éditions XO en février 2017 Nuit de tempête en mer du Nord. Secoué par des vents violents, l’hélicoptère dépose Kirsten Nigaard sur la plate-forme pétrolière. L’inspectrice norvégienne enquête sur le meurtre d’une technicienne de la base off-shore. Un homme manque à l’appel. En fouillant sa cabine, Kirsten découvre une série de photos. Quelques jours plus tard, elle est dans le bureau de Martin Servaz. L’absent s’appelle Julian Hirtmann, le tueur retors et insaisissable que le policier poursuit depuis des années. Étrangement, sur plusieurs clichés, Martin Servaz apparaît. Suivi, épié. Kirsten lui tend alors une autre photo. Celle d’un enfant. Pour Kirsten et Martin, c’est le début d’un voyage terrifiant. Avec, au bout de la nuit, le plus redoutable des ennemis. UN FACE-À-FACE ANGOISSANT Après Glacé, récemment adapté en série pour M6, Le Cercle et N’éteins pas la lumière, Bernard Minier, auteur incontournable du thriller français, signe le grand retour du commandant Servaz. Les livres de Bernard Minier sont traduits dans dix-neuf langues. (Source : XO – Pages : 525 – ISBN : 9782845638273 – Prix : 21,90 €) |
L’AVIS DE MURIEL LEROY
Dans ce quatrième livre, nous retrouvons les deux personnages antagonistes Hirtmann le psychopathe et Servaz le flic…. Un jeu du chat et de la souris va se mettre en place orchestré par Hirtmann dont l’enjeu est Gustav… Mais qui est ce Gustav ? Pourquoi met-il Servaz sur sa piste ?…
D’autres personnages vont intervenir tous aussi troubles, quels sont leurs buts et pourquoi ?
Autant de questions que nous, lecteurs, nous poserons tout au long de la lecture jusqu’au final…
Final que j’ai trouvé lourd, l’auteur en fait trop… On sait que le tueur est intelligent mais là….
Je n’ai pas trouvé cela très crédible, le livre est long, sans réelle aspérité, on s’ennuie beaucoup…
Les personnages quant à eux deviennent amorphes sans relief… Où est passé le grand Servaz ? Le manque de réaction nous le rend moins sympathique et on aurait plutôt tendance à vouloir le secouer… Tous les protagonistes du livre ont un rôle à jouer mais il n’y a pas eu d’empathie, un sentiment de déjà vu, trop excessif à mon goût…
J’avais trouvé que les 50 premières pages étaient trop longues mais la suite le sera tout autant…
On sait d’ores et déjà qu’il y aura une suite, le filon est là mais là est l’erreur…A trop tirer sur la corde, cela finit par lasser ! D’autant que je n’ai vraiment pas adhéré aux quarante dernières pages…
Bref un livre que je n’ai que moyennement aimé et qui aurait mérité cent pages de moins et une fin moins rocambolesque… Je vous laisse seul juge !!!
L’AVIS DE YANNICK P.
J’étais plutôt content de retrouver le commandant Martin Servaz et son psychopathe Julian Hirtmann. Les quinze premières pages ont été prometteuses. La promesse de les voir s’affronter était trop belle. Mais après… le soufflé retombe.
Tout part d’une plate-forme pétrolière en mer du Nord, où l’inspectrice Nigaard, enquête sur le meurtre d’une technicienne. En fouinant la cabine d’un membre de l’équipage manquant, elle découvre des photos de Servaz et celle d’un petit garçon nommé Gustav. On voyage. On saute de pays pour retrouver Martin, blessé dans une enquête et dans le coma. Bien entendu, à son réveil, il devra faire équipe avec la policière norvégienne pour courir après Hirtmann. La traque peut alors commencer.
Pas de bol, alors que Bernard Minier retrouve ses constats sur notre société, sombre et désabusée, il plombe ce roman par une multitude de descriptions, de statistiques trop détaillées. Certes c’est bien écrit. Oui, il y a tous les ingrédients. Cruauté, inquiétude et malaise, froid ambiant. Mais cela me semble poussif. La relation entre les deux personnages relations devient éculée. Le suspens est moins présent. L’intrigue manque de manque de rationalité. J’ai suivi la traque sans réel rebondissement avec un air de déjà-vu qui n’a pas cessé de me titiller. 500 pages à ce rythme, c’est long. Cela aurait mérité un coup de hache d’une centaine de pages pour donner de la vivacité. Mais là, cela peine à maintenir l’intérêt du lecteur que je suis. Sans complétement être déçu, à la fin, je reste sur ma faim.
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