Le roman policier allemand – ou Krimi – était prolifique sous le Troisième Reich. Longtemps dédaigné par les autorités, il recueillit des auteurs indociles et prit en charge la critique que la « haute » culture n’assumait plus.
Quarante-trois ans, un boulot de chien, pas de femme, pas même un petit divorce, et une très forte tendance à l’autoflagellation : allez trouver un sens à tout ça.
L'écriture est fluide, les lignes se laissent faire, on les sent dociles et la lecture en avance d'autant plus vite, de toute façon on est obligé de tourner les pages pour démêler l'intrigue et savoir ...