PRÉSENTATION ÉDITEUR
Y en a qui envoient leur maman en croisière avec la voisine… Et vogue la galère. Très peu pour San-Antonio ! Sa brave femme de mère, la délicieuse Félicie, mérite mieux. Bien mieux. Les plus belles plages italiennes, le meilleur hôtel de la côte Adriatique – et son fiston à son bras. Que ledit fiston, en réalité, cherche incognito à faire capoter un trafic d’armes, identifier des guérilleros arabiques et faire sauter la baraque importe peu. D’ailleurs, Félicie a de la ressource en matière d’espionnage. Et l’on s’ennuie si vite en vacances…
| Origine |  |
| Éditions | Fleuve Noir |
| Date | avril 1957 |
| Éditions | |
| Date | 24 janvier 2019 |
| Pages | 224 |
| ISBN | 9782266292061 |
| Prix | 6,40 € |
L’AVIS DE STANISLAS PETROSKY
Tu le sais maintenant, je ne peux rester bien longtemps sans relire une aventure du célèbre commissaire, c’est comme ça, Frédéric Dard est l’auteur que j’ai le plus lu et relu, une sorte de Maître…
Et le « Dabe » sait y faire pour te plonger dans les intrigues de son premier flic de France !
Dans cet opus-ci, Tonio utilise Félicie pour les besoins d’une enquête, le salaud, faire ça à sa bonne vieille mère, il n’a pas honte ?
Bon, OK, en contrepartie, il l’emmène en vacances en Italie, à la découverte de somptueux paysages.
Derrière la découverte de la côte adriatique, le commissaire va démanteler un réseau de trafiquants d’armes. L’humour et les bons mots sont comme d’habitude au rendez-vous, Béru et Pinuche ne font qu’une courte apparition, de simples figurants, le devant de la scène est tenu par Antoine et Félicie, un fois de plus San-Antonio déclare tout l’amour qu’il a pour sa mère.
Une chouette lecture de vacances, mais pas que, surtout quand tu es toi-même en villégiature en « Ritalie »…
Dois-je te dire qu’il faut le lire ?
Non, il est, à mes yeux, indispensable d’avoir lu TOUS les San-Antonio !
À noter, les nouvelles couvertures (une fois de plus !) sympathiques de Michaël Saillot, dessinateur et scénariste de la bande dessinée SAN-ANTONIO CHEZ LES GONES, dont je t’ai déjà causé.
