Dernier refrain à Ispahan, sous couvert d’enquête policière t’offre une immersion dans un pays, une visite guidée au cœur de l’Iran
Présentation Éditeur
Le corps de Roxana gît dans un théâtre d’Ispahan. À ses côtés, un bouquet de tulipes – le symbole de la Révolution islamique. Malgré l’interdiction de chanter en public, l’ex-star de la pop iranienne, de retour d’exil, tentait d’organiser un concert. Elle ne sera pas la seule à être réduite au silence. Narek, un reporter franco-iranien, enquête : qui en veut aux chanteuses d’Ispahan ?
Née en Iran en 1970, Naïri Nahapétian s’installe en France après la Révolution islamique de 1979. Journaliste, elle travaille actuellement pour Alternatives économiques. Son premier roman, Qui a tué l’ayatollah Kanuni ?, est disponible en Points.
Origine | ![]() |
Éditions | Liana Levi |
Date | 2 février 2012 |
Éditions | Points |
Date | 15 mai 2014 |
Pages | 224 |
ISBN | 9782757833391 |
Prix | 6,30 € |
L'avis de Stanislas Petrosky
Si tu as envie de découvrir un polar qui va te dépayser, tu peux opter pour ce titre, si en plus tu as envie de t’intéresser à l’Iran, c’est vraiment celui-ci que tu dois lire…
Naïri est d’origine iranienne et journaliste de métier, elle sait donc de quoi elle parle, c’est déjà une bonne chose.
Des femmes qui chantes sont tuées, faut dire que logiquement, elles n’ont pas trop le droit de pousser la chansonnette là-bas, surtout si c’est de la Pop qu’elles entonnent, ça a du irriter des mauvais coucheurs.
Auprès de chaque corps, un bouquet de tulipes, symbole de la révolution islamique.
Narek, un journaliste franco-iranien revient au pays pour tenter de découvrir la vérité, il va essayer de démêler le vrai du faux, essayer de comprendre qui vole la voix des femmes.
Ce roman, sous couvert d’enquête policière t’offre une immersion dans un pays, une visite guidée au cœur de l’Iran, et plus principalement d’Ispahan.