Rencontre avec l’auteur Florian Horru autour de son livre Oléron Couleur Pourpres aux éditions Terre de l’Ouest, paru en aout 2018
Jérôme PEUGNEZ : Bonjour Florian Horru, pouvez-vous me décrire votre parcours ?
Florian HORRU : Bonjour,
Mon parcours est très simple je suis entré dans la grande distribution il y a maintenant 12 ans, avec le temps et les formations, je suis aujourd’hui directeur du point de vente.
Auparavant, j’étais dans l’hôtellerie/restauration.
JP : Comment vous est venu l’envie d’écrire ? A quelle période ?
FH : Un jour je lisais un livre, et je le suis dis « pourquoi pas toi ! », il y a un an, lors de mes déplacements dans l’ensemble de la France pour mon cursus directeur. Le soir à l’hôtel devant la télé, je consacrait 1h à 2h pour écrire, pendant environ 4 jours par semaine.
JP : Quelles étaient vos lectures de votre enfance ?
FH : A vrai dire, je ne lisais pas beaucoup. C’est plus tard, lors de la sortie de Harry Potter que l’envie de lire est arrivée.
JP : Quel est votre ‘modus operandi’ d’écriture ? (Votre rythme de travail ? Connaissez-vous déjà la fin du livre au départ ou laissez vous évoluer vos personnages ?)
FH : Pas plus de 2h d’écriture le soir, pendant environ 4 jours par semaine. Non, je ne connais pas la fin, heureusement car j’aurais peur de prendre un mauvais chemin ou bâcler l’histoire. Mais trouver une fin, la chute, le final, c’est pas le plus facile.
JP : Le parcours a t-il été long et difficile entre l’écriture de vos livres et leur parution ?
FH : Mon éditeur faisait des dédicaces dans le magasin ou j’exerce, et à force d’échanger ensemble, je lui ai donné mon manuscrit.
JP : Quel est la genèse de votre roman « Oléron Couleur Pourpres » ?
FH : Un après midi avec mon ancien directeur, lors d’une discussion… un pari, un défi.
Au début du livre, je lui rend hommage, car la réussite malheureusement je la vie seul aujourd’hui.
JP : Dans vos romans, y a-t-il des personnages qui existent vraiment, dont vous vous êtes inspiré ?
FH : Effectivement, des faits réels, des anecdotes personnelles, une partie de mon enfance, les lieux hors de île existe réellement, et ce sont mes racines.
JP : Avez-vous reçu des remarques surprenantes, marquantes de la part de lecteurs, à propos de vos romans ?
Non, pas pour l’instant, c’est prématuré pour l’instant, il vient juste de sortir (le 6 août 2018). Je vais en avoir incessamment sous peu, car il est déjà vendus à plus de 2000 exemplaires
JP : Avez vous d’autres passions en dehors de l’écriture (Musique, peinture, cinéma…) A part votre métier, votre carrière d’écrivain, avez vous une autre facette cachée ?
FH : Oui, bien-sûr, le handball mon sport favoris, c’est pas mal déjà car je suis papa de trois enfants, 1 garçon de 5 ans, une fille de 16 mois et enfin la petite dernière qui a seulement 2 mois.
JP : Avez-vous des projets ?
FH : Effectivement, la suite du livre bien-sûr mais aussi des livres pour enfants sur Oléron.
JP : Quels sont vos coups de coeur littéraires ?
FH : L’incontournable, Harry Potter !
JP : Une bande son pour lire en toute sérénité vos romans ? A moins que le silence suffise ?
FH : Le générique de orange in the new black peut-être.
JP : Avez-vous un site internet, blog, réseaux sociaux où vos lecteurs peuvent vous laisser des messages ?
FH : Une page Facebook « Oléron couleurs pourpres » existe, pour commander il y a mon site aussi www.lepanieroleronais.com
JP : Merci Florian Horu d’avoir pris le temps de répondre à mes questions.
FH : Merci à vous de m’avoir donné la parole.