L’homme qui marchait sur la lune, entre ombre et lumière, un voyage où l’espionnage croise l’onirisme et l’aventure.
Présentation Éditeur
Qui est William Gasper, cet homme qui depuis cinq ans arpente inlassablement la Lune, une montagne de nulle part en plein cœur du Nevada ? De ce marcheur solitaire, nul ne sait rien. Est-il un ascète, un promeneur mystique, un fugitif ? Tandis qu’il poursuit son ascension, ponctuée de souvenirs réels ou imaginaires, son passé s’éclaire peau à peu : ancien tueur professionnel pour le compte de l’armée américaine, il s’est fait de nombreux ennemis. Parmi lesquels, peut-être, cet homme qui le suit sur la Lune ? Entre Gasper et son poursuivant s’engage alors un jeu du chat et de la souris. D’une tension narrative extrême jusqu’à sa fin inattendue, L’homme qui marchait sur la Lune est un roman étonnant et inclassable.
Origine | |
Éditions | Gallmeister |
Date | 25 août 2008 |
Date | 15 mai 2017 |
Traduction | Jacques Mailhos |
Pages | 128 |
ISBN | 9782351786260 |
Prix | 8,20 € |
L'avis de Stanislas Petrosky
Alors la première chose, nulle question de voyage sur la lune dans ce bouquin, la lune ici, est une montagne du Névada. Et depuis un lustre, le dénommé William Gasper l’arpente de long en large, tel un mec qui pratique l’ultra-trail.
On suit ses longues marches, sa préparation, et l’on partage ses souvenirs. Sont-ils réels ou le fruit de son imagination ?
Mais s’ils ne sont que mensonges, pourquoi cet homme qui le traque sans nulle cesse ?
Et qui est-il vraiment ? Un illuminé, un ancien tueur à gage du gouvernement ou un mythomane ?
Voilà toutes les questions que tu vas te poser en lisant ce bouquin.
Un roman différent qui oscille entre l’espionnage, l’onirique et l’aventure.