Dernier volet du premier cycle des saisons meurtrières, Jaune Caravage témoigne une fois de plus du talent de Gilda PIERSANTI.
Présentation Éditeur
Rome, automne 2006, la Nuit blanche bat son plein, la ville est en ébullition. Des torrents de jeunesse se déversent dans les rues, envahissent les quais pour converger vers le Gazomètre, nouveau symbole des nuits romaines, véritable phare dressé face à la Ville éternelle.
Mais l’aube sera sanglante, une jeune fille est retrouvée atrocement mutilée sur les berges du Tibre.
La fin des vacances prend alors des allures de cauchemar pour l’inspecteur principal Mariella De Luca, qui se retrouve subitement plongée dans l’univers fragile et cruel de l’adolescence. Entre naufrage des couples et menaces de la mafia russe, mères seules et enfants à la dérive, Mariella tente de dénouer les fils d’une liaison dangereuse, à l’âge où le mensonge apparaît comme l’unique défense et la mort, une seconde vie.
Origine | |
Éditions | Le Passage |
Date | 20 mars 2008 |
Éditions | Pocket |
Date | 12 mai 2010 |
Pages | 288 |
ISBN | 9782847421132 |
Prix | 17,25 € |
L'avis de Sophie PEUGNEZ
Nuit sanglante !
Rome. Les nuits sont encore chaudes en septembre et les jeunes font la fête aux abords du Tibre. Le corps mutilée d’une jeune fille est découvert. L’enquête sur sa mort va dévoiler des angles de sa personnalité qui auraient peut-être du rester dans l’ombre…
Dernier volet du premier cycle des saisons meurtrières, Jaune Caravage témoigne une fois de plus du talent de Gilda PIERSANTI. Écriture très riche, descriptions très artistiques. Certains passages sont de véritables tableaux habilement insérés dans le texte. Rythme toujours soutenu avec des instants plus doux, plus sensuels.
Les personnages sont toujours attachants : Mariella De Luca se trouve confrontée au fantôme de l’appartement… Une intrigue passionnante !
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