Gail CARRIGER : Le Protectorat de l’ombrelle

Flag-ETATS-UNIS
Protectorat de l'ombrelle

Les aventures de Alexia Tarabotti !

Vampires, loups-garous et aristocrates : un réjouissant mélange de romanesque et de fantastique !

Gail Carriger nous invite dans un monde où les loups-garous côtoient les vampires à l’époque victorienne. Alexia Tarabotti outre le fait d’être vu comme une vieille fille, n’a surtout pas d’âme ce qui est un avantage dans ce monde surnaturel. Tasse de thé, ombrelles et complots, bienvenue dans Le Protectorat de l’Ombrelle !

Tome 1 – Sans Ame

sans ame
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Parution aux éditions Orbit en janvier 2011

Parution aux éditions Livre de Poche en avril 2012

Traduit par Sylvie Denis

Miss Alexia Tarabotti doit composer avec quelques contraintes sociales.

Primo, elle n’a pas d’âme. Deuxio, elle est toujours célibataire. Tertio, elle vient de se faire grossièrement attaquer par un vampire qui, ne lui avait pas été présenté !

Que faire ? Rien de bien, apparemment, car Alexia tue accidentellement le vampire. Lord Maccon – beau et compliqué, écossais et loup-garou – est envoyé par la reine Victoria pour enquêter sur l’affaire.

Des vampires indésirables s’en mêlent, d’autres disparaissent, et tout le monde pense qu’Alexia est responsable. Mais que se trame -t-il réellement dans la bonne société londonienne ?

(Source : Orbit – Pages : 350 – ISBN : 9782360510269 – Prix : 16,50 €)

L’AVIS DE LEA D.

Cela faisait un moment que j’entendais parler du Protectorat de l’Ombrelle, et je me suis finalement décidée à la commencer. A la fin de la première lecture, j’étais perplexe et pas franchement convaincu… Il y a peu, je me suis enfin décidée à relire Sans Âme, histoire de ne pas rester sur une première impression. Et j’ai bien fait de m’y remettre !

Sans Âme se passe dans l’Angleterre Victorienne, où se côtoie les êtres humains et les créatures surnaturelles (vampires, loup-garou, fantôme…). L’héroïne (le principal protagoniste, hein, pas la drogue !) est Alexia Tarabotti, qui a deux problèmes aux yeux de la société : elle est d’origine italienne et elle ne correspond pas aux standards de beauté de son époque et de son milieu. A 25 ans, elle est donc considérée comme une vieille fille… Mais elle doit également jouer avec son statut de paranaturelle, qui a pour le moins un curieux effet sur les êtres surnaturels ! Elle a appris à faire avec ces détails, mais pas avec le fait de tuer un vampire lors d’une soirée…

La reine Victoria (I’am not amused !) dispose de conseillers surnaturel, au sein d’un cabinet, le BUR (Bureau of Unnatural Registry). Le BUR est dirigé par Lord Conall Maccon – un loup-garou comte écossais séduisant et volcanique – qui va être chargé d’élucider cette affaire et ses conséquences (car il y a des conséquences forcément, et Alexia va se lancer dans l’enquête à son tour !)

Ce premier tome du Protectorat de l’Ombrelle ne remportera pas la palme de la meilleure série de « bit-lit » que j’ai pu lire. Je me doutais bien que ces étincelles entre Alexia et Lord Maccon allait donner sur quelque chose, et notamment sur des scènes de sexe un peu trop présente parfois (mais qui reste relativement maîtrisé et ne m’ont donc pas fait mettre le livre de côté, comme ça a été le cas pour Anita Blake ou Les Sœurs de la Lune, par exemple). On retrouve une nouvelle fois des vampires et des loups-garous (pour ne pas changer !). Mais ce qui est intéressant, c’est la présence (assez rare) des fantômes, mais surtout la nature de paranaturelle d’Alexia et les explications scientifiques qui en découlent.

Car l’aspect scientifique est l’un des points que j’ai le plus aimé du récit, Gail Carriger explique la nature d’Alexia, le pourquoi de la transformation, avec dans tous les cas, tous ces éléments scientifiques qui parsèment la vie de tous les jours.

Ensuite, les personnages. Alexia est une jeune femme très moderne pour son époque. Elle a le vernis victorien, mais elle a surtout une langue bien pendue, très intelligente et intéressée par la science, ce qui la singularise encore davantage. Elle n’hésite pas à mettre son nez partout, elle est complètement décalée ! Et puis, Lord Maccon. Le loup-garou au caractère de cochon et au comportement sanguin. Sa relation avec Alexia m’a beaucoup fait rire, car ils passent leurs temps à se chamailler, à se crier dessus et à ne pas avouer tout de suite leur inclination mutuelle (une relation qui avance quand même beaucoup plus vite que d’autres !). Les personnages secondaires (Lord Akeldama, le second de la meute…) ne sont pas en reste, ils sont tout aussi importants et bien décrits que les deux personnages principaux.

Enfin, l’univers est bien décrit, ébouriffant et vraiment superbe ! Ce mélange d’époque victorienne et de technologie est vraiment bien rendu, j’ai eu très envie d’aller le visiter !

Donc, dans l’ensemble, un premier tome agréable et distrayant après relecture, je pense pouvoir dire sans me tromper que je me lancerai dans la suite du Protectorat de l’Ombrelle !


Tome 2 – Sans forme

sans forme
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Parution aux éditions Orbit en novembre 2011

Parution aux éditions Livre de Poche en avril 2013

Traduit par Sylvie Denis

Un jour qu’elle se réveille de sa sieste, s’attendant à trouver son époux gentiment endormi à ses côtés comme tout loup-garou qui se respecte, elle le découvre hurlant à s’en faire exploser les poumons.

Puis il disparaît sans explication… laissant Alexia seule aux prises avec un régiment de soldats non humains, une pléthore de fantômes exorcisés, et une reine Victoria qui n’est point amusée du tout. Mais Alexia est toujours armée de sa fidèle ombrelle et des dernières tendances de la mode, sans oublier un arsenal de civilités cinglantes. Et même quand ses investigations pour retrouver son incontrôlable mari la conduisent en Ecosse, le repère des gilets les plus laids du monde, elle est prête !

(Source : Orbit – Pages : 318 – ISBN : 9782360510399 – Prix : 16,50 €)

L’AVIS DE LEA D.

Profitant que Sans Forme est disponible en format poche, je continue les aventures d’Alexia Tarabotti.

Maintenant mariée à Lord Maccon, Alexia n’a pas pour autant perdu sa verve et le plaisir de taquiner son nouveau mari. S’habituant à sa nouvelle condition, non seulement de femme mariée mais aussi d’Alpha, Alexia se retrouve une nouvelle fois plongée dans les intrigues. Tout commence quand son mari hurle sur un de ses agents faisant son rapport. Suite à quoi, il va disparaitre aussi vite que possible, laissant Alexia se débrouiller avec la meute, avec sa nouvelle fonction auprès du cabinet de la reine Victoria mais surtout avec ce problème où tous les êtres surnaturels sont redevenus humains pour un temps… Ne tenant plus sur place, Alexia va suivre la trace de son mari jusqu’au Ecosse.

Avec ce second tome du Protectorat de l’Ombrelle, je ne m’attendais à rien de particulier, et j’espérais passer un bon moment. Sans que cette série atteigne des sommets et ne soit un coup de cœur pour moi, je me suis quand même divertie avec cette lecture, passant un moment agréable dans l’ensemble !

Alexia est toujours la même, bien que son mariage, la libérant un peu, va la rendre encore plus insouciante des conventions sociales et se sentir encore plus libre de pouvoir dire et faire tout ce qui lui passe par la tête. La relation avec son loup-garou de mari est toujours ponctuée de piques, de sarcasmes et de bagarres, ce qui fait beaucoup au charme de ce volume. En parlant de Lord Maccon, il va aller et venir, mais pouvoir le retrouver en Ecosse va nous permettre d’en savoir plus sur lui, mais surtout de connaître des bribes très intéressantes de son passé. J’ai apprécié les apparitions d’Ivvy, la meilleure amie d’Alexia, dont le goût pour les chapeaux horribles, les évanouissements et un côté très théâtral m’a vraiment beaucoup faire rire ! Par contre, je suis davantage dubitative pour ce qui est du personnage de Mme Lefoux, une française tenant un magasin de chapeau et qui a fait cadeau à Alexia d’une toute nouvelle ombrelle particulièrement impressionnante. Je ne la sentais pas et ne me suis pas particulièrement connectée à elle. Par contre, je serai curieuse de découvrir ses véritables buts vis-à-vis d’Alexia, spécialement dans le tome suivant. Car je rejoins les avis des lecteurs sur la fin : ça donne très envie de lire la suite !

L’enquête d’Alexia sur les phénomènes surnaturels est intéressante, on ne s’ennuie pas même si certains passages auraient pu être épurés. D’indices en révélations, on est pris dans Sans Forme, avec pour moi ce qui est le plus intéressant sont les personnages (certains très cocasses), mais surtout l’époque victorienne qui m’intéresse de plus en plus, et le côté steampunk qui se développe davantage dans ce second tome.

Un second tome intéressant, où je ne me suis pas ennuyée, et je lirai la suite dès que possible !


Tome 3 – Sans honte

sans honte
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Parution aux éditions Orbit en avril 2012

Parution aux éditions Livre de Poche en novembre 2013

Traduit par Sylvie Denis

Après les événements survenus en Écosse, elle est retournée vivre chez ses parents. La reine Victoria l’a exclue du Cabinet fantôme, et la seule personne qui pourrait donner une explication à sa délicate condition actuelle, Lord Akeldama, a inopinément quitté la ville. Pour couronner le tout, Alexia découvre que les vampires de Londres ont juré sa mort.

Tandis que Lord Maccon met toute son énergie à boire, et que le Professeur Lyall tente désespérément de maintenir la cohésion au sein de la meute Woolsey, Alexia s’enfuit en Italie à la recherche des mystérieux Templiers. Ils sont les seuls à pouvoir l’aider. Mais ils pourraient aussi s’avérer pires que les vampires. Surtout armés de pesto.

(Source : Orbit – Pages : 320 – ISBN : 9782360510498 – Prix : 16,90 €)

L’AVIS DE LEA D.

Des SPOILERS sont possibles pour ceux qui n’ont pas lu les tomes précédents.

Profitant de la sortie en poche de Sans Honte, je me lance dans la suite du Protectorat de l’Ombrelle.

Après la fin de Sans Forme, où Alexia découvrait qu’elle était enceinte et où son mari, furieux et soupçonneux, l’avait jeté à la porte, je n’avais qu’une envie : lire la suite des aventures d’Alexia Tarabotti. J’espérais ne pas être déçue !

Dans le tome précédent, Alexia avait fait face aux dangers, à une enquête… Mais surtout à l’annonce de sa grossesse. Déjà une nouvelle surprenante : elle est une paranaturelle mariée à un surnatural. Comment est-il possible qu’elle puisse tomber enceinte ? Mais le plus dur vient de la réaction de son mari, qui ne croit tout simplement pas qu’elle lui soit restée fidèle. Lord Maccon va donc jeter sa femme dehors, qui doit retourner chez sa famille. Avec les conséquences que l’on peut imaginer !

Alexia ne va pas perdre une occasion de découvrir comment elle peut s’être retrouvée dans cette situation. Elle va donc contacter son ami, le vampire Lord Akeldama. Mais, bizarrement, celui-ci s’est évaporé dans la nature… et la presque totalité des vampires de Londres est bien décidé à tuer Alexia ! Face à ce danger, elle va suivre une piste en Italie pour tenter de comprendre.

De son côté, Lord Maccon perd son temps et ses esprits à force de boire, abandonnant sa meute. Le professeur Lyall va tout faire pour raisonner son Alpha, lui faire comprendre la situation d’Alexia, mais surtout le pousser à réagir !

Après la fin du tome 2, je n’attendais plus que la suite. Alexia est énormément remise en question, elle doit faire face à l’attitude plus que blessante de son mari, aux ragots de son entourage et à sa famille désagréable. Mais surtout, LA question : comment peut-elle être tombée enceinte ? Autant d’éléments qui me donnaient très envie de lire Sans Honte ! Ce tome va différer légèrement des précédents, dans le sens où la psychologie des personnages va être mis autant en avant que l’action et l’enquête. Il y a de la tension, des surprises, des rebondissements… mais aussi cette volonté de Gail Carriger d’approfondir sans cesse les individus. Je pense que ce tome est pour l’instant celui que je préfère. Les personnages sont plus fouillés et mieux travaillés, et les rebondissements nous tiennent vraiment en haleine du début à la fin.

Pour ce qui est des personnages, Alexia est toujours aussi impertinente, bien décidée à ne pas se laisser faire et à ne pas se laisser abattre, même si le rejet de Maccon la fait énormément souffrir. Quant à Lord Maccon, j’ai eu bien souvent envie de le secouer. Mais il m’a également beaucoup fait rire. J’ai enfin vu ce personnage différemment, il nous fait rire sans qu’on ait besoin des piques que lui et sa femme se lancent perpétuellement. Non, cette fois, tout vient de lui, et j’ai trouvé cette approche vraiment agréable ! Geneviève Lefoux est toujours agréable à suivre, sans pour autant que ce personnage m’enthousiasme plus que ça. Par contre, un de mes préférés est Lyall. Un bon second, peu intéressé par la position d’Alpha, et qui est pourtant excellent à ce rôle lorsque Maccon fait défaut à sa meute. Un nouveau personnage fait également une petite apparition timide : le bébé d’Alexia, qu’elle sent grandir et s’agiter dans son ventre. Un petit être qui n’a pas fini de poser problème, je le sens ! Alexia est vraiment ambivalente à son propos – on le serait à moins – et j’ai hâte d’en savoir plus sur lui et sa nature.

Sans pour autant atteindre des sommets, Le Protectorat de l’Ombrelle est une série sympa à lire, et qui m’a fait passer un bon moment. C’est le principal ! J’ai hâte d’avoir le tome prochain en poche, pour savoir comment Gail Carriger va réussir à nous accrocher.


Tome 4 – Sans coeur

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Parution aux éditions Orbit en novembre 2012

Parution aux édition Livre de Poche mars 2014

Traduit par Sylvie Denis

Lady Alexia Maccon a de nouveau des problèmes. Mais cette fois, elle n’y est vraiment pour rien. La reine est menacée par un fantôme fou. Alexia se charge de l’enquête qui va la faire remonter jusque dans le passé de son époux. Pendant ce temps, sa sœur rejoint le mouvement des suffragettes, Madame Lefoux met au point sa dernière invention mécanique et des porcs-épics zombies envahissent Londres, le tout une nuit de pleine lune. Sans compter qu’Alexia doit déceler ce qui a élu résidence dans le deuxième dressing préféré de Lord Akeldama. Alexia découvrira-t-elle à temps qui tente d’assassiner la reine Victoria ?

(Source : Livre de Poche – Pages : 456 – ISBN : 9782253177197 – Prix : 7,10 €)

L’AVIS DE LEA D.

Des SPOILERS sont possibles pour ceux qui n’ont pas lu les tomes précédents.

Je m’attaque enfin à la suite des aventures d’Alexia Tarabotti !

Comme d’habitude, Alexia va se lancer tête baissée dans une nouvelle enquête. Cette fois, c’est un fantôme qui menace la vie de la Reine Victoria. Bien évidemment, on ne peut pas laisser ça arriver. Malgré le « désagrément embryonnaire », Alexia se lance dans l’aventure, ne se laissant arrêter ni par les protestations de son mari ni par les porcs-épics zombies qui envahissent Londres. Dans le même temps, elle s’interroge sur les projets de Mme Lefoux, qui met la touche finale à sa dernière invention mystérieuse, mais aussi faire face à sa sœur qui rejoint le mouvement des suffragettes. Du pain sur la planche !

Dans Sans Cœur, on se retrouve plongés une nouvelle fois dans cette Angleterre Victorienne, où Steampunk, inventions technologiques, créatures surnaturelles côtoient la haute et baisse société, les convenances et les tartes à la mélasse. Cette ambiance mêlant le Steampunk et le victorien est décidément ce qui m’accroche le plus à chaque lecture d’un tome du Protectorat de l’Ombrelle. Mais je dois dire que plus le temps passe, plus j’accroche avec les Maccon. Alexia, encombrée de sa grossesse presque à ton terme, est forcément un peu ronchonne, un peu limitée dans ses mouvements… Mais n’a rien perdu de son esprit acéré et de sa langue bien sentie ! Elle n’hésite pas à dire ce qu’elle pense. De son côté, son mari, qui ne se serait jamais vu père, fais de son mieux pour accepter la situation et aider au mieux sa femme, même s’il se fait un sang d’encre en la voyant se jeter au-devant du danger ! J’aime bien également la sœur d’Alexia : elle a beau être une sotte écervelée et langue de vipère, elle met au moint de l’animation à chaque fois qu’elle apparait ! Le seul point négatif, pour moi, est Mme Lefoux. Décidément, j’adhère de moins en moins à ce personnage et aimerait presque la voir apparaître dans Game of Thrones, pour la voir mourir tragiquement… Je sais bien qu’elle a des raisons pour faire ce qu’elle fait, mais quand même, elle aurait pu s’y prendre autrement.

Pour résoudre ce nouveau mystère, Alexia va crapahuter dans tous les coins de Londres, ce qui n’est pas forcément évident, quand on est enceinte et poursuivie. Cette enquête m’a vraiment plu car ce n’est pas du tout ce à quoi je m’attendais, et ça a pris un tournant dans la série. Pour l’instant un des tomes que j’ai préféré, pour l’enquête, mais surtout pour la relation entre Alexia et Conall qui s’est intensifié, ainsi que pour les situations vraiment drôles introduites grâce au bébé. J’ai hâte de le voir arriver !

Donc, une série qui s’améliore au fur et à mesure des livres, j’ai hâte de conclure avec le dernier tome.


Tome 5 – Sans age

sans age
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Parution aux éditions Orbit en mai 2013

Parution aux éditions Livre de Poche en septembre 2014

Traduit par Sylvie Denis

Lady Maccon est en plaine béatitude domestique

Une béatitude à peine troublée par la fréquentation de quelques loups-garous de la haute société et celle du second placard préféré d’un vampire, sans oublier un bambin précoce ayant des dispositions incontrôlables au surnaturel…

Mais Alexia vient de recevoir un ordre qu’elle ne peut ignorer. Avec mari, enfant et famille Tunstell au complet, elle embarque à bord d’un bateau à vapeur pour traverser la Méditerranée. Direction l’Égypte, une terre qui pourrait bien tenir en échec l’indomptable Alexia. Que lui veut la Reine vampire de la ruche d’Alexandrie ? Pourquoi un ancien fl éau s’abat-il de nouveau sur le pays ? Et comment diable Ivy est-elle devenue du jour au lendemain l’actrice la plus populaire de tout l’Empire britannique ?

(Source : Orbit – Pages : 344 – ISBN : 9782360510849 – Prix : 16,90 €)

L’AVIS

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BANDE DESSINE

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