- Éditions Cherche Midi le 12 avril 2018
- Traduit par Jean-Luc PININGRE
- Pages : 464
- ISBN : 9782749156934
- Prix : 21,00 €
PRÉSENTATION ÉDITEUR
9 février 1942. Dès son arrivée à New York, Woodrow Cain, un jeune flic du sud des États-Unis, est accueilli par les flammes qui s’échappent du paquebot Normandie, en train de sombrer dans l’Hudson. C’est au bord de ce même fleuve que va le mener sa première enquête, après la découverte d’un cadavre sur les docks, tenus par la mafia. Là, il fait la connaissance d’un écrivain public, Danziger, obsédé par les migrants qui arrivent d’une Europe à feu et à sang, ces fantômes au passé déchiré et à l’avenir incertain. Celui-ci va orienter Cain vers Germantown, le quartier allemand, où, dans l’ombre, sévissent les sympathisants nazis. Alors que le pays marche vers la guerre, la ville est en proie à une paranoïa croissante. Et les meurtres continuent…
Au fil d’une intrigue passionnante, Dan Fesperman évoque avec un réalisme rare quelques pages aussi méconnues que fascinantes de l’histoire de New York : l’influence nazie, le sort des immigrés juifs et l’implication de la mafia dans le conflit mondial.
L’AVIS DE CLÉMENCE
Période critique de la seconde guerre mondiale, l’été 1942… c’est ce moment que choisi Cain , policier, pour débarquer à New York…
Il se voit confier les rennes rapidement d’une enquête autour de la découverte d’un cadavre sur les quais… Il va devoir s’armer de patience et se frotter aux milieux mafieux, politiques et il ne fermera pas les yeux sur certaines choses grâce à son patriotisme.
L’intrigue est bien ficelée, le contexte historique est passionnant puisqu’on le vit rarement de ce côté d l’Atlantique…
Néanmoins, la longueur du roman m’a pesée, j’ai trouvé le rythme dense et parfois un peu long… Les descriptions des personnages à profusion est parfois déstabilisante.
Ce livre est très instructif et peut parfois sembler fatiguant. Ce n’est pas une enquête ordinaire.
Auteur prometteur que je ne manquerai pas de suivre …
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Bonjour, je croyais qu’on ne confiait les rennes qu’au père Noël. Désolé, je sors.