Avec Banditi, Antoine Albertini propose une plongée dans la Corse noire, celle des coulisses, loin des images de carte postale et des clichés
Présentation Éditeur
Devenu détective « sans bureau ni diplôme », un ancien policier porté sur la boisson est chargé de retrouver la trace de Baptiste Maestracci, un vieillard disparu de son village de montagne, en Corse. De découvertes en cadavres oubliés, d’une mystérieuse demeure inhabitée aux plages de la côte sarde en passant par les ruelles de Bastia et le cimetière de Bologne, le « privé » clandestin va mettre en lumière trente ans de l’histoire secrète de son île, entre négociations de l’ombre, assassinats et compromissions.
Après Malamorte, Antoine Albertini nous propose une nouvelle plongée dans la Corse noire, celle des coulisses, loin des images de carte postale et des clichés : les nationalistes au pouvoir, d’anciens barbouzes prêts à tout pour solder leurs comptes, le passé qui ne passe pas et un héros, toujours en quête de vérité, et de son grand amour perdu.
Origine | |
Éditions | JC Lattès |
Date | 18 mars 2020 |
Éditions | Le Livre de Poche |
Date | 10 mars 2021 |
Pages | 360 |
ISBN | 9782253241843 |
Prix | 7,90 € |
L'avis de Stanislas PETROSKY
Tu veux un roman bien noir sur la Corse qui te cause de grand banditisme, de nationalisme de barbouzes et de mafia ?
Ne cherche pas plus loin, c’est celui-là qu’il te faut !
La Corse, on dit toujours qu’elle est ensoleillée, pourtant là, tu peux me croire, c’est bien sombre, limite ténébreux…
Un vieux a disparu, le pauvre homme n’avait plus vraiment toute sa tête. Son neveu va faire appel à un ancien condé de venu détective privé, plus alcoolo qu’enquêteur, un brisé de la vie. Manque de bol, plutôt que de tomber sur l’égaré, notre privé va trouver un macchabée oublié, un de ces squelette qui ne devrait jamais sortir du placard sans risquer de foutre une sacrée panade, de réveiller de vieilles rancœurs voir soulever certaines histoires d’État…
Des personnages travaillés au scalpel, l’île de beauté en paysage, une histoire qui tient la route, ça se déguste facilement en buvant une Colomba ou une Pietra et ça t’emmène bien plus loin que les cliché de cartes postales, non, ça t’enfonce dans le maquis…
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