Tristan Saule : Chroniques de la place carrée – 03 – Jour encore, nuit à nouveau

Tristan Saule : Chroniques de la place carrée - 03 - Jour encore, nuit à nouveau

Présentation Éditeur

Cloîtré dans son appartement, Loïc scrute la place carrée par la lunette de sa carabine .22 Long Rifle.

Quand la France s’est déconfinée, en mai 2020, Loïc a eu peur – du virus, du vaccin, des autres. Un an plus tard, il n’est toujours pas sorti. Épiant la vie du quartier, il rumine sa détresse et maudit ses anciens camarades de théâtre. Heureu­sement, l’écriture de sa pièce, Les aventures de Clic et Cloque, l’aide à canaliser ses angoisses. Jusqu’à quand ?

Huis clos solitaire halluciné, Jour encore, nuit à nouveau est un thriller psycho­gique au suspens insidieux, où se dessine une certaine France contemporaine: paranoïaque, délaissée, désinformée, excédée, sans plus aucun repère.

Ce troisième volet des Chroniques de la place carrée, qui évoque à la fois Taxi Driver et une version maniaque de Fenêtre sur cour, poursuit l’entreprise noire de Tristan Saule, à mi-chemin entre The Wire et les Rougon-Macquart.

Origine Flag-FRANCE
Éditions Le Quartanier
Date 6 janvier 2023
Pages 312
ISBN 9782896986576
Prix 22,00 €
Commander
Jérome PEUGNEZ
Jérome PEUGNEZ
Co-fondateur de Zonelivre.fr. Il est le rédacteur en chef et le webmaster du site.

LAISSER UN COMMENTAIRE

Votre commentaire
Entrer votre nom ici

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

A découvrir

Antonio MANZINI : Piste noire

Piste noire est la première enquête du sous-préfet Schiavone, personnage qu’on ne peut oublier et que l’on suit avec délectation tant son humour fait du bien.

Audrey GLOAGUEN : Semia

À la veille de Noël, le suicide collectif dans un centre commercial d'individus apparemment étrangers les uns aux autres, voilà de quoi attirer les médias charognards.

Mick HERRON : Slough House – 02 – Les lions sont morts

Deuxième volet d’une série initiée avec La Maison des tocards, sans gadgets ni clichés, Mick Herron y régénère avec brio le roman d’espionnage.