Bob SHACOCHIS : La femme qui avait perdu son âme

Flag-ETATS-UNIS

INFOS ÉDITEUR

Bob SHACOCHIS - la femme qui avait perdu son ame
[amazon asin=2351785886&template=image&title=LA FEMME QUI AVAIT PERDU SON ÂME]

Parution aux éditions Gallmeister en janvier 2016

Parution aux éditions Gallmeister poche le 5 octobre 2017

Traduit par François Happe

Jackie Scott, alias Renee Gardner, aussi connue sous le nom de Dottie Chambers ou Dorothy Kovacevic, est retrouvée morte au bord d’une route en Haïti. Qui était-elle réellement et dans quelles circonstances vient-elle de disparaître ? Nombreux sont ceux qui aimeraient répondre à ces questions et comprendre cette femme qui les obsède. Mais comment percer le mystère de cette fille de diplomate, familière depuis toujours de ceux qui façonnent l’histoire du monde dans l’ombre des gouvernements ?

Une fresque envoûtante aux accents shakespeariens, entre histoire d’amour, thriller et roman métaphysique.

Ce livre, finaliste du Prix Pulitzer en 2014 et lauréat du Dayton Literary Peace Prize or Fiction, est considéré comme le Grand Roman Américain de l’ère post-11 septembre.

(Source : Gallmeister – Pages : 880 – ISBN : 9782351785881 – Prix : 13,00 €)

L’AVIS

Partagez votre lecture dans les commentaires !

Jérome PEUGNEZ
Jérome PEUGNEZ
Co-fondateur de Zonelivre.fr. Il est le rédacteur en chef et le webmaster du site.

LAISSER UN COMMENTAIRE

Votre commentaire
Entrer votre nom ici

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

A découvrir

Alexis AUBENQUE : Nuits noires à Seattle – Tome 1 – Charité bien ordonnée

Alexis Aubenque nous invite à plonger dans le monde des hyper-riches, au travers de leurs excès et de leurs frasques

Tito DESFORGES : La machine à brouillard

Mac Murphy est un soldat d'élite. Mac Murphy est fort. Mac Murphy est dur. Mac Murphy trimbale dans sa tête une épouvantable machine à brouillard

Maria ADOLFSSON : Doggerland – 1 – Faux pas

Faux Pas, un roman policier bien construit, original,le style de Paria Adolfsson est soigné jusque dans les détails