Thomas FECCHIO : Je suis innocent

Flag-FRANCE

INFOS ÉDITEUR

Thomas FECCHIO - Je suis innocent
[amazon asin=2359736000&template=image&title=Je suis innocent]

Parution aux éditions Ravet-Anceau en février 2017

Six heures du matin. Des hommes armés déboulent dans la chambre de Jean Boyer. Dans un état de semi-conscience, le quinquagénaire a le temps d’apercevoir leurs brassards siglés « police ». Mauvais signe, surtout pour lui, ex-taulard relâché après trente ans passés derrière les barreaux. Ses crimes ? Meurtre et viols à répétition. Ce jour-là, c’est le capitaine Germain qui lui passe les menottes. Le cadavre de Marianne Locart, une étudiante originaire de Soissons, a été retrouvé enterré près du domicile du suspect, un bras sortant de terre. La première victime de Boyer avait subi le même sort. Pour la Justice, pour les médias et pour les politiques, le récidiviste devient le suspect idéal. Pourtant, Germain doute de la culpabilité de l’interpellé qui ne cesse de répéter « Je suis innocent ». Mais l’engrenage est enclenché. À ce stade, Boyer n’a plus qu’une solution pour s’en sortir : débusquer le meurtrier de Marianne.

(Source : Ravet-Anceau – Pages : 304 – ISBN : 9782359736007 – Prix : 14,00 €)

L’AVIS

Partagez votre lecture dans les commentaires !

Jérome PEUGNEZ
Jérome PEUGNEZ
Co-fondateur de Zonelivre.fr. Il est le rédacteur en chef et le webmaster du site.

LAISSER UN COMMENTAIRE

Votre commentaire
Entrer votre nom ici

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

A découvrir

Andrea Maria SCHENKEL : La ferme du crime

En 1920 à Tannöd, petit village perdu de Bavière, toute une famille est assassinée. L’affaire n’a jamais été résolue.

Leonardo PADURA : Inspecteur Mario Conde – Les Brumes du passé

Au-delà du roman noir, Leonardo Padura écrit un beau roman mélancolique sur la perte des illusions, l’amour des livres, de la culture

Vincent PEILLON : Un chinois à Paris

24 décembre, les cadavres de divas travesties commencent à s’additionner dans les rues de Paris.