Se jeter sur Darwin XXI et lire décontracté ces 400 pages d’imagination débridée qui ne sont pas sans jeter quelques liens avec notre quotidien pandéminié.
Quand la littérature se venge et qu’elle s’allie à une imagination féconde, ça éparpille de la substance organique à tout va, dans un univers barré et saturé d’irrespect.