Arnaldur Indridason se place ici dans la lignée de Simenon, avec la construction d’un environnement social et affectif soigné et captivant. Un beau roman noir sensible aux rebondissements surprenants.
Oscillant sans cesse entre le roman noir et l’épopée kafkaïenne, Méndez Guédez nous plonge avec ses deux losers dans un monde où la réalité est toujours plus délirante que n’importe quelle fiction.
Pour la première fois, un reportage raconte, avec un grand talent littéraire, la vie surprenante d’un homme qui est devenu le plus grand tueur professionnel connu au monde.
De la Russie de Trotski au Chili de Pinochet, de l’Allemagne d’Hitler à la Patagonie d’aujourd’hui, La Fin de l’histoire traverse le XXe siècle tout entier.