INFOS ÉDITEUR
Parution aux éditions de l’Archipel en mars 2012 Parution aux éditions Livre de Poche en février 2013 Traduit par Penny Lewis Un psychopathe sévit dans les environs de Berlin. Lorsque la police retrouve ses victimes, ces dernières sont vivantes, n’ont subi aucun sévice, mais se trouvent prostrées dans un état végétatif, psychologiquement anéanties, comme privées de conscience…D’où le surnom que lui a donné la presse : le briseur d’âmes. Quelles tortures mentales a-t-il infligé à ses proies ? Et pourquoi laisse-t-il dans leur main une phrase énigmatique ? Caspar, un amnésique d’une quarantaine d’années interné dans une clinique psychiatrique de luxe, n’aurait jamais imaginé croiser le chemin du psychopathe.Et pourtant, en cette veille de Noël, alors qu’au-dehors une tempête de neige fait rage, lui, le personnel médical et quelques patients se retrouvent enfermés dans la clinique, coupés du monde… avec le briseur d’âmes. Et, cette fois, il tue ! Comme dans ses précédents romans, Sebastian Fitzek s’appuie sur un scénario machiavélique pour jouer avec les nerfs de ses lecteurs et leur offrir un finale inattendu. (Source : Archipel – Pages : 270 – ISBN : 9782809806427 – Prix : 19,95 €) |
L’AVIS DE PHILIPPE SAVIN
Je termine ma lecture du thriller Le Briseur d’âmes et je reste un instant immobile, silencieux, le livre posé devant moi, l’esprit ailleurs. Je suis encore avec Caspar, Sophia, Rassfeld, Bruck, Mr Ed et le Briseur d’âmes, plongés dans ce huis clos infernal. Diabolique. Glaçant.
Enfermé avec eux dans la clinique Teufelsberg, isolée du monde par une tempête de neige comme l’Overlook, le célèbre hôtel du terrifiant film réalisé par Stanley Kubrick, d’après le roman éponyme THE SHINING, de Stephen King. Diabolique. Glaçant.
Un clin d’œil. La folie. Le froid. La mort. Sebastian Fitzek. Un nom à retenir.
Cet auteur se plait à torturer ses personnages et ses lecteurs. C’est indéniable, Sebastian Fitzek aime manipuler les esprits. Le briseur d’âmes est efficace. Redoutablement efficace. Nous y retrouvons ce terrible climat anxiogène suscité par les meilleurs films d’horreurs comme ceux de John Carpenter dans lesquels le réalisateur aborde ses thèmes favoris : La peur, l’enfermement et la folie, encore. L’écrivain doit lui aussi aimer ce cinéma-là. Mais à l’instar de ce genre de films, le comportement de certains personnages du roman nous exaspère parfois, par exemple lorsque deux d’entre eux décident de quitter le groupe et de se diriger vers un lieu isolé où vous n’iriez jamais si un dégénéré sadique se retrouvait enfermé dans le même bâtiment que vous. Style un deuxième sous-sol inquiétant. Le laboratoire. Eux, ils s’y rendent. Ces scènes ne vous font-elles pas hurler : Bon sang mais pourquoi vont-ils là ? C’est idiot ! Personne ne ferait ça. Pourtant ça marche. On veut savoir s’ils vont s’en sortir. Et ici rien n’est moins sûr. Tout peut arriver dans ce genre d’histoire. Tous les personnages peuvent mourir, même les plus attachants. Mais je n’en dirais pas plus…
La seule certitude qui s’offre à nous au fur et à mesure que nous avançons dans notre lecture c’est que le Briseur d’âmes en dangereux psychopathe a mis au point un plan machiavélique pour parvenir à ses fins, avec la terrible impression que personne ne lui échappera. Personne ne lui échappera…
Ce sentiment nous oppresse, nous angoisse tout au long des pages de ce thriller psychologique implacable, à l’écriture épurée. L’auteur va à l’essentiel. Il veut nous faire peur. Nous aimerions aider les protagonistes tourmentés à se sortir de cet enfer, mais il est trop tard. Le piège s’est refermé sur eux. Un doute nait alors dans notre esprit : Et si le Briseur d’âmes nous manipulait depuis le début ? Et si les apparences étaient trompeuses ?
En conclusion, Le briseur d’âmes est un roman, vous l’avez compris, vraiment réussi où se mêle folie, vengeance et manipulation, pour notre plus grand plaisir.
Philippe SAVIN – Auteur
L’AVIS DE LEA D.
Pour un premier roman que je lis de Sebastian Fitzek, c’est une révélation !
Dans la clinique Teufelsberg, la plupart des patients et personnels sont partis pour les vacances. Ne restent que quelques-uns. Un jour, à la télé, une patiente suit l’affaire du Briseur d’Âmes : on retrouve ses victimes plongées dans le coma, apparemment inconsciente de ce qui se passe autour d’elles, et psychologiquement anéanties… Surnommé ainsi par la presse, il leur inflige une torture mentale connue de lui seul, et un de ses plaisirs est de laisser une note énigmatique dans les mains de ses victimes.
Caspar, un amnésique interné à Teufelsberg, suit cette affaire de loin. Jusqu’au jour où une tempête de neige fait rage la veille de Noël, le personnel médical et les patients se retrouvent enfermés dans la clinique avec le Briseur d’Âmes. Mais cette fois, il ne va pas se contenter de terroriser ses victimes !
L’équipe médicale et les patients se retrouvent enfermés dans l’hôpital, en compagnie d’un dangereux psychopathe, qui avance les pièces une par une pour parvenir à accomplir un plan machiavélique que presque personne ne peut comprendre… Caspar sent qu’il peut comprendre ces actes, mais il faudrait pour ça qu’il parvienne à élucider les bribes de souvenirs qui lui parviennent !
Le Briseur d’Âmes est un récit vraiment captivant, Sebastian Fitzek met ses personnages et ses lecteurs dans un suspense insoutenable, dans l’attente de ce qui va se passer pour la suite. Un thriller oppressant, qui joue perpétuellement avec nos nerfs…
J’ai tourné les pages avec avidité, dans l’attente du mouvement suivant, que ce soit de la part du Briseur d’Âmes ou de ses victimes (n’empêche, quelle idée parfois d’aller se mettre dans des endroits sombres où on peut se faire facilement piéger !). Les pages finales sont grandes en révélations, et vraiment satisfaisantes, car certes elles apportaient des réponses, mais surtout au fait que certaines de mes hypothèses soient justes !
Si vous n’avez pas encore lu Le Briseur d’Âmes, je vous recommande cet ouvrage de Sebastian Fitzek !
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