Maxime CHATTAM : Prédateurs

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INFOS ÉDITEUR

Maxime CHATTAM : PrédateursParution aux éditions Albin Michel en avril 2007

Parution aux éditions Pocket le 14 mai 2009

Une guerre sans nom.

De jeunes soldats sauvagement mutilés dans des mises en scène effroyables.

Mais l’ennemi n’est pas le coupable.

Pour le lieutenant Frewin, fasciné par le langage du sang, il ne peut s’agir que d’un psychopathe, un monstre de ruse et sadisme, un prédateur cruel et archaïque qui va les décimer un par un…

Renouant avec la veine de sa Trilogie du Mal, Maxime Chattam nous propulse dans un vortex de terreur, imposant une fois encore son univers mystérieux et sanglant.

Plus qu’un thriller, un guide de survie !

(Source : Pocket – Pages : 576 – ISBN : 9782266188784 – Prix : 8,40 €)


Maxime Chattam, « Prédateurs » par EditionsPocket


L’AVIS DE SOPHIE PEUGNEZ

Aux portes de l’Enfer !

Un conflit, peu importe le lieu, peu importe l’époque. Les hommes se préparent au combat, la tension est palpable. Un cadavre est retrouvé atrocement mutilé dans le camp. La police militaire tente de s’immerger dans les ténèbres de l’esprit du tueur pour anticiper ses actions et arrêter sa course sanglante.

Les mots sont comme des impacts de balles et touchent le lecteur au plus profond de son être. Au-delà du thriller, Prédateurs est une véritable réflexion sur le comportement de l’Homme vis-à-vis de ses semblables. Les recherches poursuivent pendant plusieurs mois par Maxime Chattam sur les sérial-killers sont habillements insérées dans le roman.

Prédateurs, de Maxime Chattam, est sans aucun doute un futur roman culte. On retrouve l’intensité de la trilogie avec des personnages toujours aussi attachants et troublants. J’ai adoré !

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Sophie PEUGNEZ
Sophie PEUGNEZ
Co-fondatrice de Zonelivre.fr. Sophie PEUGNEZ est libraire et modératrice professionnelle de rencontres littéraires. Elle a été chroniqueuse littéraire pour le journal "Coté Caen" et pour la radio.

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5 Commentaires

  1. Ton commentaire, Sofy, est vraiment alléchant. Je pressens qu’effectivement, nous allons retrouver un Maxime Chattam au meilleur de sa forme, le regard acéré, auscultant la noirceur des âmes de ses contemporains…J’en frémis d’horreur…et d’impatience!
    A quand la parution de ce roman prometteur ?

    • Hello Anabelle! Te connaissant, tu ne devrais pas être déçue à la lecture de Prédateurs. La date de sortie devrait être le 04 avril (plus d’infos prochainement pour valider ou non cette date)

  2. LOL LOL LOL Alors là, chapeau bas ! Suspense implacable, ambiance glauque et malsaine. Une atmosphère terrifiante habite les pages de ce roman qu’on a beaucoup de mal à lâcher… des chapitres toujours impeccablement agencés, (alternance de courts pour le suspense et de longs pour le développement), un cadre riche assez peu vu dans les romans de ce genre. C’est très cinématographique et ça m’a rappelé un peu le livre de F.Paul Wilson « La forteresse noire » (adapté par Michael Mann en 1983) où des nazis, repliés dans une forteresse, se faisaient décimés un par un par une créature fantastique. Chattam reste dans l’humain, ça n’en n’est que plus fort.

  3. « Comment se montrer si pertinent sans être soi-même déséquilibré? Pouvait-on cerner, disséquer et appréhender le langage du sang sans être soi-même contaminé? » ( p. 284, Prédateurs )
    …Effectivement, c’est bien la question qu’on se pose au fil de la lecture de ce nouvel opus écrit de main de maître mais j’ai l’impression que c’est la question récurrente depuis la trilogie. Or, Maxime Chattam ne tourne pas en rond, ne triture pas de nouvelles plaies en vain, ne sombre pas dans un morbide gratuit et écoeurant, ce roman semble s’inscrire dans une logique, une réflexion profonde, philosophique et même politique sur notre société décadente: » la volonté affirmée de guider l’homme vers le meilleur de ses facultés maîtrisées tout en se servant de ses plus bas instincts pour assurer la protection de ses valeurs  » (p. 453 ).
    J’ai mieux compris le projet commencé avec Les Arcanes du Chaos, ce deuxième volet est excellent, émouvant, déstabilisant parce qu’il nous renvoie à nous-même.
    Un café polar pour échanger à ce sujet serait évidemment et forcèment riche et passionnant, en présence de l’auteur, of course!!!

  4. C’était vraiment énorme, je me suis laissée envouté par cette histoire, aussi horrible soit elle. Lu en 4 jours, impossible de m’arrêter, c’était comme une « drogue ». Sa façon de décrire ce que ressentent les personnages, sa description de ses meurtres qui sont inhumains, sa part de vérité face aux guerres qui transforme les Hommes.
    Vraiment bravo à ce roman, qui m’en a beaucoup appris.

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