Le Pitch
Notre Mère la Guerre est un récit, sous des allures d’enquête policière, qui prend la guerre comme sujet principal. Un récit qui aborde la question de ce Mal Absolu qu’est la guerre, à travers l’affrontement de deux hommes en plein coeur des tranchées françaises : un caporal et un lieutenant de gendarmerie, un socialiste antimilitariste et un militant catholique et patriote.
Trois femmes froidement assassinées. Et sur elles, à chaque fois, une lettre mise en évidence. Une lettre d’adieu. Une lettre écrite par leur meurtrier.
Tome 1 – Première complainte
Parution aux éditions Futuropolis en septembre 2009
Janvier 1915, en Champagne pouilleuse. Cela fait six mois que l’Europe est à feu et à sang. Six mois que la guerre charrie ses milliers de morts quotidiens. Mais sur ce lieu hors de raison qu’on appelle le front, ce sont les corps de trois femmes qui font l’objet de l’attention de l’état-major. Trois femmes froidement assassinées. Et sur elles, à chaque fois, une lettre mise en évidence. Une lettre d’adieu. Une lettre écrite par leur meurtrier. Une lettre cachetée à la boue de tranchée, sépulture impensable pour celles qui sont le symbole de la sécurité et du réconfort, celles qui sont l’ultime rempart de l’humanité. Roland Vialatte, lieutenant de gendarmerie, militant catholique, humaniste et progressiste, mène l’enquête. Une étrange enquête. Impensable, même. Car enfin des femmes… c’est impossible. Inimaginable. Tout s’écroulerait. Ou alors, c‘est la guerre elle-même qu’on assassine… (Source : Futuropolis – Pages : 64 – ISBN : 9782754801652 – Prix : 16,25 €) |
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Tome 2 – Deuxième complainte
Parution aux éditions Futuropolis en septembre 2010
Le 8 janvier, la section Peyrac perd au combat les deux tiers de ses soldats. Même s’ils étaient des repris de justice, mineurs de surcroît, libérés de prison pour être envoyés au front, le caporal Gaston Peyrac, socialiste et antimilitariste, les aime ces gamins. Il se moque de ce qu’ils ont pu faire avant, son unique but est de les garder en vie. Alors, quand Vialatte et Janvier portent leurs soupçons sur ses hommes, ça le met en rage… (Source : Futuropolis – Pages : 64 – ISBN : 9782754803205 – Prix : 16,25 €) |
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Tome 3 – Troisième complainte
Parution aux éditions Futuropolis en novembre 2011
À la fin du deuxième volume, les « gosses » de la section Peyrac sont suspectés par Vialatte et surtout le capitaine Janvier d’être les assassins des quatre jeunes femmes. Mais Raton, Surin, Jolicoeur, Jojo, Planchard et Le Goan succombent à une attaque des Allemands. Le caporal Peyrac, lui aussi, est porté disparu. Quand débute le troisième tome, nous sommes en mai 1917, vingt-sept mois plus tard. Le lieutenant Vialatte est versé dans les chars, en première ligne. Gravement blessé, il sera soigné à l’hôpital militaire du camp de Marly-le-Roi. À sa surprise, le désormais commandant Janvier vient lui rendre visite. « Vous vouliez rendre justice à ces malheureuses femmes et à ces gamins perdus ? Je vous en redonne le pouvoir », lui dit-il en substance. Vialatte, tout juste remis de ses blessures, reprend donc son enquête à zéro… (Source : Futuropolis – Pages : 64 – ISBN : 9782754804035 – Prix : 16,25 €) |
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Tome 4 – Requiem
Parution aux éditions Futuropolis en octobre 2012
En septembre 1917, remis de ses blessures, le lieutenant Vialatte apprend deux nouvelles d’importance : Eva, l’amour de sa vie, travaille comme interprète à la Croix-Rouge. Par ses fonctions, elle est en contact avec les camps de prisonniers français en Allemagne. Et c’est par elle que Vialatte découvre que Peyrac, porté disparu en 1915, a été fait prisonnier et qu’il est bien vivant. Vialatte, avec l’aide de Janvier, reprend donc son enquête à zéro. (Source : Futuropolis – Pages : 64 – ISBN : 9782754807524 – Prix : 16,25 €) |
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Notre Mère la guerre – Intégrale
Parution aux éditions Futuropolis en octobre 2014
(Source : Futuropolis – Pages : 264 – ISBN : 9782754811767 – Prix : 34,50 €) |
Notre Mère la guerre – Chroniques
Parution aux éditions Futuropolis en novembre 2014 Cet ultime volume n’est pas une suite mais un prolongement aux nombreuses rencontres avec les lecteurs qui ont fait naître le désir de faire le point, au-delà du cadre de la Première Guerre Mondiale, sur la matière réelle ayant servi de matrice à cette «fiction d’archive». Une réflexion devenue collective, alimentée pendant les rencontres et restituée dans cet ouvrage collectif par d’autres talents du 9e art : Jeff Pourquié, Vincent Bailly, Edith, Damien Cuvillier, Hardoc. «Ce livre, écrivent aussi Kris et Maël, devait être le dernier. C’était le moment de rendre, autant que faire se peut, tout ce que nous avons emprunté ailleurs. Et, en premier lieu rendre hommage à tous ceux qui nous ont laissé des traces littéraires ou visuelles de leur expérience durant la guerre. D’ où le désir, après avoir créé ces doubles imaginaires qu’ils ont fortement inspirés, de raconter qui étaient Charles Péguy, Louis Barthas ou l’Anglaise Vera Brittain…» Parmi donc plus de 350 ouvrages qui lui ont été utiles, Kris a choisi plusieurs témoignages ou biographies, emblématiques de leur influence sur Notre Mère la guerre. Les passant au crible de sa propre histoire personnelle, il a mêlé le récit intime de la création d’une bande dessinée aux destins individuels de ces témoins, acteurs et de l’une des plus grandes crises du XXe siècle. (Source : Futuropolis – Pages : 80 – ISBN : 9782754811552 – Prix : 16,00 €) |
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