PRÉSENTATION ÉDITEUR
Août 2019. Une attaque à la bombe touche un quartier stratégique d’Atlanta. Sara Linton et son compagnon Will Trent, enquêteur pour le Georgia Bureau of Investigation, se précipitent sur le lieu de l’explosion. Alors que Sara tente de venir en aide aux victimes, elle est enlevée sous les yeux de Will par les poseurs de bombes et conduite au pied des Appalaches, dans un camp peuplé d’hommes armés et de femmes en longues robes blanches. Ce groupuscule paramilitaire aux airs de secte prévoit de multiplier les attaques terroristes à l’échelle nationale afin de rétablir la suprématie de l’homme blanc.
La menace est sans commune mesure. Le danger, imminent.
Ensemble, Will et Sara parviendront-ils à déjouer l’attentat le plus meurtrier du xxie siècle ?
Origine | |
Éditions | HarperCollins |
Date | 20 mai 2020 |
Pages | 592 |
ISBN | 9791033904496 |
Prix | 20,90 € |
L’AVIS DE YANNICK P.
Petit dernier de la série, Will Trent, La Dernière veuve se lit très bien en one-shot. Le pitch, Une attaque à la bombe en plein Atlanta. Sara Linton et son compagnon Will Trent, du GBI – Georgia Bureau of Investigation, arrivent sur le lieu de l’explosion. Alors que Sara vient en aide aux victimes, elle est enlevée sous les yeux de son compagnon. Les poseurs de bombes se révèlent être un groupe sectaire qui veut d’instaurer la suprématie de l’homme blanc à grands coups d’attentats.
Sous couvert de thriller mettant en scène un groupuscule paramilitaire sectaire et suprémaciste, Karin Slaughter continue à montrer la société américaine telle qu’elle est. L’émergence suprémaciste, les groupes sectaires qui voient le jour. Bref un pays fait de joie et de bonne humeur, d’égalité et d’ouverture d’esprit.
Publiée en 36 langues avec 35 millions d’exemplaires vendus derrière elle, Slaughter maitrise l’art du thriller. Alors certes, ce n’est pas novateur sur la forme, mais c’est efficace. C’est totalement maitrisé et agréable à lire. La Dernière veuve, n’est pas le thriller de l’année, mais j’avoue avoir apprécié la manière dont l’auteure joue avec le temps dans la première partie du roman. Ce n’est pas sans me rappeler la mise en scène d’Angles d’attaque (Vantage Point), le film de Pete Travis. Dommage toutefois que cela ne dure pas jusqu’à la fin du roman. La structure était intéressante et offrait un petit plus à ce livre.
Donc un livre sympa à lire en cas de confinement ou de vacances. Une bonne approche des romans de Slaughter.
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