Présentation Éditeur
A partir de 9 ans
Romancière à succès, Sarah est sur le point de basculer dans la folie. Une créature étrange s’est introduite par effraction dans le labyrinthe de son imagination, perturbant son travail littéraire. Une chose qui vient d’ailleurs… un inconnu qui visite l’intérieur de sa tête comme une cambriole une banque. Un être séduisant et terrifiant, qui semble bien décidé à s’incruster dans son âme telle une sangsue psychique.
Doit-elle combattre ce monstre aux multiples visages, ou tenter de pactiser avec lui ? Va-t-il la détruire ou, au contraire, lui ouvrir les portes d’un univers fabuleux auxquels, sans lui, elle n’aurait jamais eu accès ?
Origine | ![]() |
Éditions | Le Masque |
Date | 13 janvier 2002 |
Éditions | L’Archipel |
Date | 20 mai 2009 |
Pages | 285 |
ISBN | 9782809801521 |
Prix | 14,95 € |
L'avis de Sophie Peugnez
De l’autre côté du livre
Ouvrir Wonderlandz, c’est franchir un seuil mystérieux, celui d’une porte entre deux mondes, où l’imaginaire s’entrelace à la réalité et où chaque page est une invitation à explorer l’inconnu.
Dès les premières lignes, le lecteur est happé, comme envoûté par une mélodie hypnotique. Jean-Luc Bizien, magicien des mots, devient notre guide. Il ne se contente pas de raconter une histoire : il nous fait ressentir. Les émotions affluent, les sensations s’intensifient, et les doutes s’insinuent. Qui sommes-nous vraiment dans ce labyrinthe littéraire ? Lecteur ou personnage ?
J’ai voyagé au pays des mots, un lieu aussi étrange que familier. Là-bas, j’ai pris le thé avec un chat énigmatique, son sourire flottant dans l’air comme un mystère. J’ai entendu le tic-tac insistant d’une montre, écho d’une urgence inconnue. « Alice, où cours-tu ainsi ? » ai-je murmuré. Mais ce n’était pas Alice. C’était moi.
Sur ma route, des dragons ont surgi, majestueux et terrifiants, et une jeune auteure m’a tendu la main pour me conter son histoire. Entre les pages, le réel s’effilochait, remplacé par un songe éveillé.
Ai-je lu ? Ai-je rêvé ? Je ne saurais le dire. Tout ce que je sais, c’est que lorsque je suis sortie de cette douce torpeur, Wonderlandz reposait sur ma table de chevet, gardien silencieux de cette étrange traversée.
Merci à Jean-Luc Bizien, ce passeur de rêves, pour ce voyage unique, entre poésie et vertige.