- Éditions Lajouanie le 23 septembre 2016
- Pages : 342
- ISBN : 9782370470744
- Prix : 19,00 €
PRÉSENTATION ÉDITEUR
Le grand cataclysme prédit par W3 a balayé la planète. Le monde est littéralement dévasté. L’Europe lutte pour sa survie et surveille ses frontières : des millions de survivants d’autres continents sont parqués dans des camps. A la merci de tout les fanatismes ils cherchent à retrouver la civilisation en tentant de franchir une redoutable barrière de drônes, pas mortels mais presque… L’énergie se fait rare, Internet se meurt…
L’AVIS DE STANISLAS PETROSKY
Le Dub a encore frappé…
Après son remarquable et décalé La papesse on line, Henri Duboc revient en force dans le second volet de sa trilogie Dieu 2.0.
On retrouve avec plaisir les personnages de Gabriel, W3, Yosa, et même cet immonde salopard de Vérinas…
Henri ne fait pas dans la demie mesure, un gigantesque cataclysme ravage la planète. Depuis le temps que l’on en cause des plaques tectoniques et autres failles sismiques, ben voilà, notre planète prend l’apocalypse en plein dans sa tronche.
Ça fait mal, exit les USA, le superbe parc Yosémite, entre autres, est dévasté… Mais pas que…
Toute la planète en prend un sacré coup. Reste notre bonne vieille Europe qui n’as pas trop souffert… Et donc soudainement un afflux de migrants. Ces gens qui n’ont plus de pays, toutes ces personnes dont le pays n’est plus que ruines. Ils n’ont plus que le vieux continent comme refuge, dernier asile qui n’a pas été trop touché. La survie est là, c’est donc le lieu où tous tentent d’aller.
Ça ne vous rappelle rien ?
Des camps où l’on parque ces gens…
Vous aussi ?
Et voilà donc que l’on se met à extrapoler, comparer ce monde futuriste à notre monde actuel. Bien sûr il n’est pas encore question d’endoctrinement dans les camps de migrants actuels, quoi que… en sommes-nous vraiment sûr ?
Un désastre de cette échelle laisse des traces même dans les zones non sinistrées, plus, ou peu d’énergie. Et dans un monde futuriste où tout est automatisée, géré par l’internet et autres robots, c’est le désespoir…
Et si l’on pouvait revenir avant ? Si l’on pouvait éviter ce séisme ? Voyager dans le temps ? Pourtant l’expérience tentée dans le premier opus fut une catastrophe…
Comme dans le premier tome, Henri Duboc place ses pions avec humour. Un humour teinté de cynisme, nous rappelant à chaque instant les dangers du « tout virtuel ».
Un roman d’anticipation, comme à la grande époque des Guieu, Lima, Bruss et autre Randa à dévorer de toute urgence…
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