Faire imprimer son roman policier : nos conseils

Trouver un éditeur est un parcours du combattant pour un auteur de romans policiers et, au vu du très faible pourcentage de manuscrits retenus, de nombreux écrivains décident d’imprimer eux-mêmes leurs productions. Un pari audacieux, empreint de suspense, à l’image d’un polar. Avantages, inconvénients… Avez-vous fait le tour de la question ? Nous vous donnons quelques éléments avant de vous jeter à l’eau et de faire imprimer votre roman noir.

Faire imprimer son roman policier : les avantages

Toutes les maisons d’édition ont refusé votre roman ? Voyez le bon côté des choses : vous restez maître de votre récit. Personne ne vous imposera de remaniement, ni de changement de trame.

Vous pouvez décider d’éditer votre livre à compte d’auteur auprès d’une maison d’édition, mais sachez que votre livre vous reviendra beaucoup moins cher si vous l’imprimez vous-même. Vous vous privez certes de services payants (mise en page, relecture…), mais qui augmentent d’autant le coût de revient du livre. En fin de compte, vous toucherez plus sur la vente de votre ouvrage en l’imprimant vous-même.

Avec un site comme www.lesgrandesimprimeries.com l’imprimeur de livres vous pouvez bénéficier de services à bas prix pour faire imprimer votre roman policier. Les droits de diffusion, d’exploitation et de représentation de votre roman vous appartiennent : vous pouvez continuer à envoyer votre manuscrit à des maisons d’édition, et à vendre votre polar via les réseaux de votre choix. Enfin, votre statut d’auteur indépendant peut vous rendre plus proche de votre lectorat.

Faire imprimer son roman noir : les inconvénients

Si vous décidez d’imprimer seul votre roman noir, vous aurez besoin d’énergie à revendre : vous devrez endosser de multiples casquettes. Celle de relecteur pour commencer. Les fautes d’orthographe et de ponctuation sont rédhibitoires, et demeurent un frein à la lecture. Au besoin, vous pouvez payer les services d’un professionnel.

Soignez aussi ce qui entoure le roman : un bon titre doit donner envie de s’immerger dans votre polar. Choisissez un ton en rapport avec celui du roman. Faites aussi un résumé accrocheur, et percutant, qui présente les différents personnages.

Pour l’image de couverture, et sa police d’impression, n’hésitez pas à vous faire aider par le studio graphique de votre imprimeur. Elle doit être soignée et professionnelle. Les graphistes de https://www.impression-livre.com peuvent aussi vous aider à concevoir une mise en page adaptée. Le choix du papier d’impression est important et votre imprimeur doit pouvoir vous conseiller entre les différents types de papiers proposés : souple, rigide sur du papier offset naturel, etc. Méfiez-vous des malentendus. Une fois que votre thriller est imprimé, il n’y a plus de retour en arrière possible !

Imprimer soi-même son polar : nos conseils

N’omettez pas les formalités administratives et juridiques : à partir du moment où un livre est diffusé en dehors du cercle familial, il doit faire l’objet d’un dépôt légal à la BNF (Bibliothèque nationale de France) pour protéger ses droits d’auteur. Si vous souhaitez commercialiser votre livre en librairie ou sur des sites de vente en ligne, et que vous l’imprimez à plus de 100 exemplaires, un numéro ISBN doit figurer sur chacun d’entre eux. La demande se fait auprès de l’AFNIL (Agence francophone pour la numérotation internationale du livre).

Enfin, ne négligez pas la communication ! Sans le système de promotion, le réseau et les contacts d’une maison d’édition, vous ne pouvez compter que sur vous-même pour vous faire connaître. Le bouche-à-oreille peut faire des miracles ! Commencez par faire parler de vous dans votre ville, en contactant la presse locale, en faisant des dédicaces dans les librairies. Participez aux salons du livre, signalez-vous aux blogueurs et aux sites spécialisés dans les romans noirs. S’ils apprécient votre œuvre, ils pourront faire des liens vers votre page Facebook ou votre blog, si vous en avez un.

News

Graham MASTERTON : Le complot Sweetman

Un serial killer - baptisé le Dingue de l'autoroute - sème la panique à Los Angeles en tuant des automobilistes, apparemment sans lien entre eux.

Emelie SCHEPP : Série Jana Berzelius – 07 – Ne réveille pas l’ours qui dort

Emelie Schepp fait monter d’un cran la pression dans ce volet des enquêtes de Jana Berzelius pour un dénouement final vertigineux

Emelie SCHEPP : Série Jana Berzelius – 06 – Les griffes du silence

Pour sauver sa réputation – et sa peau –, elle a intérêt à mettre ses collègues sur une fausse piste et, surtout, à surveiller ses arrières…

Emelie SCHEPP : Série Jana Berzelius – 05 – L’appel de la sirène

Dans sa quête vengeresse de la vérité, la procureure est prête à tout

A lire

Bastien VIVÈS et Martin QUENEHEN : Quatorze juillet

Quatorze juillet, de Bastien VIVÈS et Martin QUENEHEN , un magnifique roman graphique qui a pour toile de fond une France sous tension.

Jean-Marc DHAINAUT : Brocélia

Brocélia, de Jean-Marc Dhainaut, dans un univers fascinant où se mêlent les âmes des vivants et des morts. Le fantastique est entretenu jusqu’au bout.

Karin SLAUGHTER : Série Will Trent – 08 – Angie

Le corps sans vie d’un ex-flic vient d’être signalé dans un bâtiment destiné à devenir le prochain nightclub branché

Fred VARGAS : Sans feu ni lieu

Avec un humour et une légèreté virtuoses, Fred Vargas fait rebondir les situations, réinvente la manière de parler de ses personnages

Vincent VILLEMINOT : Biographie et Bibliographie

Vincent VILLEMINOT publie près d'une quinzaine d'ouvrages de littérature jeunesse.
Getfluence
Getfluence
Articles sponsorisés

Graham MASTERTON : Le complot Sweetman

Un serial killer - baptisé le Dingue de l'autoroute - sème la panique à Los Angeles en tuant des automobilistes, apparemment sans lien entre eux.

Emelie SCHEPP : Série Jana Berzelius – 07 – Ne réveille pas l’ours qui dort

Emelie Schepp fait monter d’un cran la pression dans ce volet des enquêtes de Jana Berzelius pour un dénouement final vertigineux

Emelie SCHEPP : Série Jana Berzelius – 06 – Les griffes du silence

Pour sauver sa réputation – et sa peau –, elle a intérêt à mettre ses collègues sur une fausse piste et, surtout, à surveiller ses arrières…