INFOS ÉDITEUR
Parution aux éditions 10/18 dans la collection Grands Détectives en janvier 2008 Premier Tome 1 Londres, 1932. Depuis que la municipalité a attribué à la maison du major Hipwood le n° 221 à Baker Street, le salon du premier étage semble hanté. S’agit-il d’un esprit, comme le prétendent certains ? Existe-t-il un lien entre ces manifestations et la série de crimes qui ensanglante Whitechapel et les beaux quartiers du West End ? Motivée par un funeste pressentiment, lady Conan Doyle, la veuve de l’écrivain, sollicite l’aide de deux détectives amateurs, Andrew Singleton et James Trelawney. Lors d’une séance de spiritisme organisée à Baker Street, ces derniers découvrent avec effarement l’identité du fantôme. Et quand ils comprennent que les meurtres à la une des journaux imitent ceux commis par Jack l’Éventreur, Dracula, Mr Hyde et Dorian Gray, nos jeunes enquêteurs sont entraînés dans une aventure qu’ils ne sont pas près d’oublier. Un hymne enflammé à la littérature victorienne et à ses monstres sacrés ! (Source : 10/18 – Pages : 256 – ISBN : 978-2264045027 – Prix : 7,00 €) |
L’AVIS DE SOPHIE PEUGNEZ
Oubliez toutes vos certitudes !
Andrew Singleton et James Trelawney reçoivent la visite de Lady Conan Doyle, la veuve est encore apeurée par des bruissements étranges qu’elle a entendue juste avant le décès de son mari. Ce dernier est mort tout en serrant dans sa main un message très sibyllin.
Des travaux ont été menés à Londres et l’adresse fictive de Sherlock Holmes au 221 Baker Street est devenue réelle, depuis une entité semble habiter le premier étage. Des crimes ont lieu dans différents lieux de la capitale mais chacun de ces endroits a « des résonances bien particulières »
Un fond historique vraiment passionnant, je trouve que l’on retrouve l’esprit de Conan Doyle dans ce roman, j’ai apprécié que l’auteur ajoute à la fin de son ouvrage les informations qui étaient réelles et celles qu’il « a tronqué » pour les besoins de son histoire. Cette immersion dans les salons londoniens où règnent les séances de spiritisme est troublante. J’ai vraiment aimé sentir la passion de Fabrice Bourland lorsqu’il évoque la littérature du XIXe siècle, on sent que la littérature fantastique coule dans ses veines. C’est un très bel hommage qu’il a réalisé et avec un axe vraiment original. Je pensais m’éloigner des vampires et au détour d’un page je me suis trouvée face au comte Dracula… Quelle troublante rencontre…
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