Rose Morte est une saga fantastique sur toile de fond historique, destinée à des lecteurs adultes (accessible à partir de 16 ans). Baignée d’un romantisme crépusculaire rédigé dans la veine des romans des 18e et 19e siècles, cette histoire vous mènera dans un univers sombre et dangereux, où les faux-semblants sont rois.
S’il me fallait résumer (très sommairement) l’esprit de cette saga, je dirais qu’elle se situe à la croisée des chemins entre Bram Stocker (Dracula) et Jane Austen (Orgueil & Préjugés ; Raison & Sentiments). L’univers y est toutefois plus sombre, plus dense, plus violent aussi, et relève d’une interprétation du mythe qui m’est personnelle. Mais si vous aimez la vision « classique » de la créature de type vampirique, vous apprécierez sans doute l’univers que je dépeins.
(Source : Le site de l’auteur)
INFOS ÉDITEUR
Parution aux éditions de l’Homme Sans Nom en mars 2012 Parution aux éditions Milady en mars 2015 Illustration de France, fin du XVIe siècle. Rose, unique héritière du comte Greer, est une jeune femme au caractère bien trempé. Mais son père, craignant pour son avenir, désire à tout prix la marier. C’est en essayant de se soustraire à ce destin qu’elle va faire la connaissance d’Artus de Janlys. Immédiatement sous le charme du fascinant comte, la jeune femme va être propulsée dans un univers de dangers et de mystères, où les meurtres abjects qui terrifient la capitale trouveront une explication incroyable et pourtant bien réelle… (Milady – Pages : 591 – ISBN : 9782811214098 – Prix : 7,90 €) |
L’AVIS DE LEA D.
Merci à Céline Landressie de m’avoir envoyé ce premier tome !
Nous sommes à la fin du XVIème siècle. Pour fuir le climat tendu et les dissensions religieuses de l’Eglise élisabéthaine, la famille Greer s’est réfugié en France. Eileen, ou Rose, est la seule fille du comte. Elevée en France, elle a un caractère vif et bien trempé. Mais elle va bientôt se heurter aux volontés de sa famille, qui veut la marier coûte que coûte. Rose a réussi à éviter plusieurs mariages, mais elle ne va peut-être pas pouvoir résister longtemps…
Lors d’un bal où elle devait faire la connaissance d’un possible fiancé, elle fait la rencontre d’Artus de Janlys. Un comte pour le moins puissant, mystérieux, et séduisant… Un homme qui a le talent de lui faire perdre la tête ! Mais il ne fait pas bon d’être imprudent à Paris, surtout lorsqu’ils s’y passent des meurtres horribles, des complots et des guerres de pouvoirs. Rose l’apprendra à ses dépens !
J’ai entendu beaucoup d’avis positifs sur cette série (et soyons sérieuse, l’illustration d’Artus est juste… magnifique…), et je suis plus que ravie d’avoir eu la chance de lire La Floraison !
Pour une première découverte, ce fut une découverte réussie ! Au tout début, il y a eu seulement quelques tournures de phrases qui m’ont un peu gênée, comme certains mots qui revenaient un peu trop souvent, mais cela s’est vite estompé au cours de la lecture. Céline Landressie utilise un vocabulaire et des expressions de gens de l’époque, ce qui donne un côté très réaliste à l’histoire. On se sent véritablement remontés le temps au XVIème ! On prend vraiment le temps également de découvrir l’intrigue, les personnages… Tout est décrit de manière très visuelle, j’ai vraiment l’impression de pouvoir déambuler aux côtés des personnages.
Des personnages vraiment très bien décrits ! Rose est une jeune femme très têtue, volontaire, bien décidée à avoir une indépendance qui n’est pas donnée aux femmes de cette époque. Même si j’ai eu parfois envie de la secouer pour la réveiller, j’ai pris un grand plaisir à la découvrir. Artus est vraiment LE personnage à connaître. Mystère et danger, charisme et attirance… Un personnage très particulier, que l’on va découvrir davantage au fur et à mesure ! Adelphe est un autre personnage très intéressant, ce n’est pas une vulgaire doublure. Il sera un grand réconfort pour Rose, un appui pour Artus.
Un premier tome essentiellement concentré sur les pensées de Rose, surtout au début. L’action va arriver assez tardivement, mais cela ne m’a pas gênée le moins du monde, car quand il y a de l’action, il y en a ! Et la mise en place de cet univers est tellement passionnante qu’on est perdu dans les déambulations des personnages.
L’élément fantastique arrive peu à peu, presque sans qu’on s’en aperçoive et très habilement menée. La nature de certains personnages est bien amenée, et suis très curieuse d’en apprendre davantage dans Trois Epines !
Un cadre historique très bien décrit, des personnages intéressants, j’ai plus que hâte de pouvoir me plonger dans la suite.
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