Présentation Éditeur
Un terrible secret hante ces murs…
Dans l’impasse de Needless Street se dresse une maison isolée et solitaire, à l’image de son propriétaire, Ted Bannerman, un étrange personnage. Dee, qui vient d’emménager dans la maison voisine, est persuadée qu’un terrible secret pèse sur les lieux. Ted aurait-il un lien avec cette disparition d’enfant survenue onze ans plus tôt dans les environs ? Que se passe-t-il vraiment derrière la porte de la dernière maison avant les bois ?
Quelque chose est bien enterré dans la forêt. Mais ce n’est pas ce que vous pensez… La Dernière Maison avant les bois est en effet l’un des romans les plus inattendus qu’on ait lus depuis longtemps – et certainement celui dont vous aurez le plus envie de parler cette année.
Origine | |
Éditions | Sonatine |
Date | 16 février 2023 |
Traduction | Pierre Szczeciner |
Pages | 416 |
ISBN | 9782355849329 |
Prix | 23,00 € |
L'avis de Léa D.
Dans une ville, il y a la petite impasse de Needless Street, où se trouve la maison de Ted Bannerman. Un homme étrange, solitaire, qui ne reçoit que la visite occasionnelle de sa fille Lauren. Sa voisine, Dee, qui cherche à élucider le mystère de la disparition de sa sœur, est convaincue que Ted est responsable de la disparition d’une fillette qui a eu lieu dans les environs, il y a 11 ans…
Nous-même nous interrogeons sur Ted : il évite toute interaction avec ses voisins, il cloue des planches sur ses fenêtres…
Nous sortons peu dans ce roman : la majorité de l’intrigue se déroule dans la maison de Ted, avec quelques passages dans les bois et dans le cabinet d’un psychologue. De même, il y a peu de personnages : il y a Ted, évidemment, qui est le personnage central, mais il y a également sa fille Lauren, sa chatte Olivia et Dee, qui mène l’enquête sur la disparition de sa sœur.
L’intrigue oscille entre ces quelques lieus et ces différents personnages, brouillant les pistes jusqu’à la fin. La dernière maison avant les bois est un livre que j’ai dévoré rapidement, curieuse de connaître le prochain rebondissement. Et Catriona Ward a très bien su gérer la tension ! Entre l’ambiance en huis-clos, la pression qui ne fait que monter, et surtout cette plongée dans les méandres de l’esprit humain – surtout avec un des thèmes que l’on rencontre assez peu et amené de manière subtile – j’avoue avoir passé un excellent moment !
Je n’attendais rien de précis de La dernière maison avant les bois, j’ai découvert ce titre car je suis toujours curieuse de découvrir les titres parus chez Sonatine. Et ce roman est très intéressant, bien mené, je vous le conseille donc.
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C’est intrigant !