INFOS ÉDITEUR
Parution aux éditions Hachette Bibliothèque Verte en 1979 Traduit de l’américain par Claude VOILIER Titre original : Mystery of the Wax Queen (1966) Illustrations de Philippe DAURE « Arrêtez ! Arrêtez ! » cria une jeune femme dès que débuta le tirage de la tombola. Un agent de police réussit à la faire taire et l’entraîna à l’écart. La fête de charité battait son plein et la nombreuse assistance ne réagit pas à cette interruption. « Je me demande ce que ça veut dire ? murmura Ann Parker. – Peut-être que cette loterie est truquée ? » suggéra Liz. Il n’en fallait pas plus pour intriguer les Soeurs Parker. Mais elles ne savaient pas que ce petit incident allait leur faire découvrir un inquiétant trafic de cire. (Source : Hachette – Pages : 182 – ISBN : 9782010057571 – Prix : – €) |
L’AVIS DE SOPHIE PEUGNEZ
La série mythique de ma jeunesse
Les soeurs Parker assistent à une étrange altercation lors d’une loterie, cela attise vivement leur curiosité. Leurs vacances commencent et leur oncle Dick leur annonce qu’elles vont avoir une enquête
à résoudre. Elles font la rencontre d’une artiste que l’on nomme la Reine de Cire qui possède à la fois le don d’être un sculpteur de talent et le don de voyance.
Les incidents se cumulent autour de Liz et Ann qui ne laissent jamais la peur les envahir et qui continue à chercher la vérité quoiqu’il en coûte.
Retrouvailles des années après avoir eu en main mon premier bibliothèque verte c’est à dire celui-ci. J’ai retrouvé les éléments qui avaient créé ma passion pour cette série. J’aime beaucoup les deux soeurs qui sont très attachantes, les personnages secondaires tels que leur oncle Dick, la bonne Cora amènent toujours une petite touche en plus à l’histoire. Les romans ont toujours un fond historique ou artistique. Il y a la fois du suspense, de l’humour et des sentiments…. même si l’on reste dans des relations platoniques. En tout cas, rien n’est jamais décrit lorsque les jeunes filles retrouvent leurs cavaliers habituels Ken et Chris.
J’avais aimé L’Impératrice de Cire car l’héroïne de cette histoire est vraiment étrange de même que son atelier. Et ce texte est sans temps mort. Je l’ai tellement lu étant petite que lorsque j’ai repris la lecture hier j’avais l’impression que les scènes se dessinaient sous mes yeux et que l’on ôtait au fur et à mesure des draps blancs qui auraient caché ce spectacle.
Caroline QUINE est également l’auteur des ALICE, du moins c’est ce que j’ai cru pendant toute ma jeunesse, il n’y a pas si longtemps que ça que j’ai appris que l’auteur culte de ma jeunesse cachait en vérité un pseudonyme collectif. Caroline QUINE en français ou Carolyn KEENE en anglais était en effet un collectif d’auteurs dirigé par le Stratemeyer Syndicate.
Même si c’est « Alice » qui avait la vedette à l’époque, j’ai toujours eu une préférence pour les Soeurs Parker. Trouver tous les tomes de la collection a été une véritable quête. Aux États-Unis, ce sont « The Dana Girls », Liz se nomme Louise Dana et Ann est Jean Dana.
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Une série que j’ai lu de bout en bout, mes premiers polars de gamine ! Merci Sophie de les remettre au goût du jour 🙂
bonjour j aimerai avoir un cross over alice et les soeurs parker dans un seul roman