- Éditions MA Editions le 3 avril 2019
- Pages : 209
- ISBN : 9782822405669
- Prix : 22,00 €
PRÉSENTATION ÉDITEUR
De Violette Nozières à l’abominable docteur Petiot en passant par l’assassinat du président Doumer, le dépeceur de Notre-Dame-des-Fleurs et le dernier exécuté en place publique, le docteur Paul, célèbre médecin légiste du XXe siècle, promène son pas débonnaire sur les rives de la Seine, dans les entrailles de Paris et là où le crime le mène, offrant sa participation à la résolution de nombreuses affaires judiciaires qui défraient la chronique de l’époque. Ecrit à partir des archives personnelles de ce grand médecin légiste, ce polar historique plonge le lecteur au coeur d’une époque troublée qui va connaître les heures les plus sombres de notre histoire. Dans le prolongement du premier tome Mémoires du crime, le légiste raconte (1910-1925), le médecin légiste Bernard Marc retrace de sa plume alerte douze affaires qui ont marqué la mémoire collective.
L’AVIS DESTANISLAS PETROSKY
Vous connaissez le Docteur Paul ?
Ah si… vous connaissez, je vous en ai déjà parlé dans une précédente chronique, le Docteur Bernard Marc nous racontait sa vie de 1910 à 1925…
Pour notre plus grand plaisir, le légiste écrivain réitère avec cette fois la période de 1930 à 1945, vous croiserez Petiot, Nozière, Weidmann, vous y verrez plus clair dans l’affaire Stavisky, sur la mort du conseiller du Prince…
Une fois de plus c’est une source de d’archives, avec une écriture fluide, bien loin des livres d’Histoire, où vous apprendrez en vous « amusant ». Une nouvelle plongée dans le monde des grandes affaires judiciaires de notre pays.
Vous y croiserez l’inspecteur Bonny de la Carlingue, l’ombre de Simenon qui rendait hommage dans ses romans au célèbre légiste.
Le docteur Paul a officié, il me semble, encore bien après 1945, il nous reste juste à espérer que le Docteur Marc nous offre un troisième opus aussi riche et intéressant que les deux premiers.
Vu qu’ici on cause roman et polar, il est à noter que le Docteur Paul fut membre du jury du prix du Quai des Orfèvres en 1957, lorsque Louis C. Thomas est lauréat pour Poison d’Avril, on peut se dire qu’il devait être bon juge pour du livre policier à la vue de sa carrière unique.
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