La sage-femme d’Auschwitz, un roman fort pour ne jamais oublier que la bête n’est pas morte, elle dort seulement.
Présentation Éditeur
Lorsqu’elle arrive à Auschwitz, sous un ciel bas et gris, Ana est persuadée qu’elle ne survivra pas à l’enfer du camp. Mais elle possède une compétence que les nazis recherchent : elle est sage-femme. Son travail sera de donner naissance aux enfants des autres prisonnières. Une mission terrible car, dès qu’ils ont poussé leur premier cri, les nouveau-nés sont emmenés et donnés à des familles allemandes. Malgré la détresse de ces femmes à qui on vole leurs bébés, Ana essaie d’apporter un peu de réconfort autour d’elle. Et puis un jour, elle réalise qu’elle peut faire plus. Secrètement, elle tatoue les petits avec les numéros de déportées de leurs mères. C’est une lueur d’espoir dans ce monde d’une infinie noirceur : et si, après l’horreur de la guerre, grâce à ce petit geste, ces enfants et leurs mères pouvaient se retrouver ?
L'avis de Stanislas Petrosky
Un roman poignant issu d’une histoire vraie…
Tout part du ghetto de Varsovie, deux femmes se retrouvent à Auschwitz, Anna parce qu’elle a aidé des juifs, Ester parce qu’elle porte l’étoile jaune. Anna est sage-femme, dans l’enfer de ce camp, Ester va devenir son assistante, ensemble – et ce malgré les personnages ignobles qui les entourent – elles vont donner la vie à plus de trois milles enfants…
Mais ce n’est pas tout, car du fond de leur folie, les nazis qui risque une baissent de population décident de faire adopter les nourrissons non-juif et tous ceux qui ressemblent à des petits aryens. Alors Anna et Ester vont imaginer un plan pour tenter de retrouver ses enfants à l’issue de la guerre, leur tatouer le numéro de matricule de leur mère.
Un roman fort pour ne jamais oublier que la bête n’est pas morte, elle dort seulement.
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