Boris AKOUNINE : Série Eraste Fandorine – 13 – La ville noire

Russie

INFOS ÉDITEUR

Boris AKOUNINE - Serie Eraste Fandorine - 13 - La ville noire
[amazon asin=2264069465&template=image&title=La ville noire]

Parution aux éditions 10/18 en octobre 2016

Traduit par Paul LEQUESNE

A la poursuite d’un révolutionnaire, Eraste Fandorine se retrouve à Bakou, ville la plus dangereuse de l’Empire Russe.

1914. La vie du tsar est menacée. Eraste Fandorine est chargé de capturer le révolutionnaire Ivan Ivanovitch Ivantsov pour le mettre hors d’état de nuire. Il découvre vite que l’homme, surnommé Ulysse, s’est réfugié à Bakou. Bakou, la ville noire, la ville la plus riche de l’Empire russe, aux mains de quelques magnats du pétrole de toutes nationalités. En cette veille de Première Guerre mondiale, Bakou constitue aussi un nid d’espions particulièrement actifs. La femme de Fandorine, la comédienne Elisa Altaïrskaïa-Lointaine – rebaptisée Claire Delune – est également dans la ville pour un tournage. Mais la coïncidence n’enchante guère l’enquêteur, qui n’aspire qu’à reprendre sa liberté…

(Source : 10/18 – Pages : 528 – ISBN : 9782264069467 – Prix : 8,80 €)

L’AVIS

Partagez votre lecture dans les commentaires !

Jérome PEUGNEZ
Jérome PEUGNEZ
Co-fondateur de Zonelivre.fr. Il est le rédacteur en chef et le webmaster du site.

LAISSER UN COMMENTAIRE

Votre commentaire
Entrer votre nom ici

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

A découvrir

François DARNAUDET : L’homme qui valait des milliards

Un signal d'alerte est lancé sur Internet : un prof de maths a résolu le problème du millénaire sur les nombres premiers et s'apprête à casser les codes bancaires du monde entier.

Jean-Pierre BOCQUET : Tome 2 – Le maître du sceau

Des signes symboliques énigmatiques tatoués sur un cadavre conduisent deux inspecteurs francs-maçons dans le monde sulfureux et ésotérique des cathares

Jean-Hugues OPPEL : Noir diamant

Noir Diamant, ça pulse, ça bouge, les « héros » sont mis à mal, il y a beaucoup de fond, bref c’est du Oppel