- Éditions French Pulp le 11 juillet 2019
- Pages : 201
- ISBN : 9791025104767
- Prix : 17,00 €
PRÉSENTATION ÉDITEUR
Quand Requiem, le plus déjanté des curés, agent secret du Vatican décide de prendre la défense des animaux, et qu’il se retrouve confronté aux Yakuzas, ça donne un polar sans temps mort, avec des répliques toujours aussi ciselées.
Une fois de plus, Petrosky nous ouvre les yeux sur un problème de société avec humour. Un roman jubilatoire pour défense des animaux.
L’AVIS DE YANNICK P.
Requiem aurait-il une âme ? Après avoir loué les louanges d’un chanteur national mort, Esteban Lehideux, agent du Sodalitium Pianum, du Vatican pour les non-initiés (ils ont manqué un truc) revient.
Toujours en manque de cheveu, amoureux du langage fleuri et la jambe légère, Requiem est de retour. Si il est impertinent, il se fait sérieux quand il s’agit de défendre les aux espèces en voie de disparition. Seasheperd 4ever … ?
Requiem abandonne un temps la France et va vivre une partie de chasse pour sauver non pas la veuve ou l’orphelin, mais bien une jeune écolo-warrior tout en n’oubliant pas dans ses valises, Cécile son moucheron préféré. Voilà. Pas davantage d’info à partager avec toi, lecteur, sur l’intrigue. Hors de question de te dévoiler la ballade à laquelle le sieur Petrosky t’invite, mais saches, qu’il y a un brin d’Afrique et même des Yakusas. Comme quoi, les salauds non pas de frontière. C’est toujours cadencé au cordeau, ponctué et souligné d’amour pour la langue. Pas la tienne, t’inquiètes, celle de Dard et consorts. Outre un clin d’œil appuyé à la merveilleuse Nadine – comment ne pas oser voir la belge blonde prendre corps sous les traits d’un des personnages – les amateurs de chasse en prennent pour leur grade. L’homme reste le plus vil des prédateurs.
Bref, ce nouvel opus est à l’image des précédents, délicieusement ravageur, un brin cynique, quoique un poil plus sérieux, même si les précédents savaient porter des thèmes graves. Car c’est une des forces de Requiem, rire, pour mieux démonter la connerie humaine. Petrosky continue de dialoguer avec toi tout au long de ce roman. Cela crée une saine dépendance. Alors plutôt que de lire bêtement voire béatement sur la plage, profite de tes vacances pour te taper sur le bide et celui de tes voisins. Tu bronzeras intelligent.
En savoir plus sur Zonelivre
Subscribe to get the latest posts sent to your email.