- Éditions Robert Laffont collection La Bête Noire en mars 2016
- Éditions Pocket le 18 mai 2017
- Traduit par Laure MANCEAU
- Pages : 416
- ISBN : 9782266272476
- Prix : 7,90 €
PRÉSENTATION ÉDITEUR
Traduit dans 35 pays et déjà en cours d’adaptation par la productrice de Millénium et la scénariste de La Fille du train, Maestra est le premier volet d’une trilogie noire et érotique.
Le jour, Judith Rashleigh est assistante dans un hôtel de ventes aux enchères londonien qui l’exploite malgré ses diplômes et son talent. La nuit, elle officie dans un bar à hôtesses ou elle séduit sans effort.
Judith sait qu’elle doit jouer le jeu. Pour faire carrière et pour charmer les hommes, elle a appris à être une gentille fille… Jusqu’à ce qu’elle découvre une gigantesque escroquerie autour d’une fausse toile de maître. Licenciée avant d’avoir pu faire éclater le scandale, Judith décide de fuir avec un riche client sur la Côte d’Azur. Là-bas, un monde décadent et corrompu les attend. Là-bas, elle goûtera à la vengeance. La gentille fille deviendra femme fatale.
L’AVIS DE PEPITA SONATINE
Alors, Mesdames, si vous voulez vous faire plaisir, ne vous en privez pas, parce qu’avec Maestra de L.S.Hilton tout est permis.
Messieurs, On pense à la fête des mères, à la fête des Amoureux, au cadeau pour sa moitié, un roman à scandale qui devrait plaire à ces dames.
Pas vraiment un polar, un thriller scabreux dans le monde de l’art et de la luxure ainsi qu’une héroïne sans complexe, devenue meurtrière par accident , un cocktail détonant pour une future trilogie noire et érotique.
Essentiellement féminin, un tantinet coquin, un soupçon de corruption… Bref, un roman dont dont on va beaucoup entendre parler.
L’AVIS DE LEA D.
Merci à Robert Laffont !
Judith Rashleigh travaille en tant qu’assistante pour un hôtel de ventes aux enchères à Londres. Malgré ses diplômes et ses talents, elle n’est considérée que comme un sous-fifre qui n’a pas son mot à dire. Pour compenser ses journées vides de sens, elle officie la nuit dans un bar à hôtesses, ce qui lui permet de se faire beaucoup d’argent et de séduire facilement.
Un jour, elle découvre une gigantesque escroquerie autour d’une toile de maître à son travail. Sur le point de faire éclater le scandale, elle est licenciée. Elle décide alors de fuir avec un client rencontré lors de son travail de nuit, en direction de la Côte d’Azur. Là-bas, elle décide de goûter aux joies de la vengeance, et de tout faire pour que maintenant tout se déroule selon ses plans à elle.
Maestra est sans doute le livre de la Bête Noire qui a eu le plus de publicités, qui a eu beaucoup de refus de la part d’éditeurs, et qui est souvent cité dans la presse. Pour ma part, je ne refuse jamais un livre de la Bête Noire, et pourtant celui-ci m’a fait un peu hésiter… Car, j’avoue que les livres à tendance un peu érotisme me font toujours reculer. Donc, j’attendais de voir si L.S Hilton allait me convaincre ! Car après tout, j’avais aimée toutes les publications précédentes de la Bête Noire, pourquoi celle-ci serait différente ? Mais malheureusement, je suis peut-être partie un peu trop confiant… Oui, Maestra n’a pas été un coup de cœur, et m’a laissé sur le fond assez dubitatif.
Ce mélange de genres, entre thriller et érotique, est la première chose qui m’ait dérangée. Certes, cela n’a rien à voir avec Fifty Shades of Grey : je le trouve déjà mieux écrit, notre héroïne – Judith – est une femme fatale qui souhaite atteindre son but sans dévier de son chemin. Il y a beaucoup de sexualité, mais peu de sentiments ou d’amour. C’est déjà quand même un bon point ! Après, je ne sais pas si je suis définitivement hermétique au genre érotique, mais j’ai trouvé que c’était un peu trop présent, et que le côté thriller n’était pas assez mis en valeur. Et pourtant, c’est ce que j’attendais davantage de cette lecture ! Le fait qu’elle veuille se venger, d’user de ses charmes et surtout de son intelligence pour infiltrer le milieu de l’art et le monde criminel est vraiment intéressant. Le fait que cela se passe dans le monde de la peinture et de l’art en général est aussi quelque chose que j’apprécie énormément. Du coup, j’attendais beaucoup de cet aspect-là de l’histoire, mais malheureusement, cela n’a été peut-être pas assez développé. A mon goût du moins ! Par contre, l’érotisme est définitivement très présent. Que ce soit au début de Maestra, quand Judith est hôtesse dans un bar à champagne réputée, ou quand son passe-temps est de faire l’amour avec hommes, femmes, voir les deux. Ensuite, elle profitera de sa beauté pour mettre au point sa vengeance, n’hésitant pas à recourir à n’importe quel moyen. Alors oui, on pourrait dire : enfin une femme qui n’hésite pas à tirer profit de sa sexualité pour avoir ce qu’elle veut ! Certes, mais c’est une méthode qui ne me convainc pas énormément, j’ai eu du coup beaucoup de mal à adhérer au fonctionnement de Judith et à la comprendre. Les scènes de sexe sont très nombreuses, Judith aime faire l’amour et est prête à tout pour baiser. Je dois avouer, mais ce n’est peut-être que mon manque de goût pour cette littérature, qu’au bout d’un moment cela m’a ennuyée. Certes, les scènes de sexe sont parfois dérangeantes, mais… voilà. C’est tout. Pas de frisson, pas d’excitation, juste de la lassitude.
Mais malgré mon scepticisme et mon manque d’empathie envers le personnage principal, L.S Hilton réussit malgré tout à me faire avancer dans l’histoire mais surtout à me donner envie de savoir ce qui va arriver. De plus, Maestra nous fait voyager, de la Côte d’Azur à l’Italie, mais surtout nous montre les dessous du monde de l’art : magouille et manigance sont au programme !
Donc, Maestra nous embarque dans une histoire sombre et glauque, je serais sans doute au rendez-vous pour la suite, mais sans en attendre grand-chose. Dommage !
L’AVIS DE YANNICK S.
« Qui dit art, dit mensonge » -Balzac-
Je commence ici le 1er tome d’une trilogie de thrillers dont le personnage principal est une femme : Judith RASHLEIGH.
Le roman tourne autour de l’ART, la peinture, les tableaux de grandes valeurs mais aussi la sexualité pour le moins débridée, sans filtre de Judith, en témoignent les pages 144 à 147 😱…et le CRIME.
Mais le CRIME est tout un ART…
Être un caméléon : une évidence !
Les « aventures » de Judith se déroulent dans les grandes villes telles Londres, Rome, Paris…
Judith RASHLEIGH est assistante dans un hôtel de vente aux enchères, le British Pictures, qui l’exploite le jour ; au détour d’une rencontre avec une ancienne amie, Leanne, il lui est proposé d’officier dans un bar à hôtesses, la nuit 😮.
Combler des fins de mois difficiles ?
Le GSTAAD CLUB..
Les jeudis et vendredis soir Judith s’appelle LAUREN.
Alors que Judith renfloue ses comptes grâce à ce « job de nuit » elle fait une découverte dans son travail de jour..
Un tableau :
-Le duc et la duchesse de Richmond observant le galop.-
Une peinture de STUBBS ?
La curiosité de Judith aura t-elle des conséquences sur son évolution au sein de la British Pictures ?
RUPERT : un patron particulier ?
En parallèle, Judith-Lauren fait de nouvelles rencontres le soir au club notamment : JAMES.
Un week-end avec un inconnu : début d’une nouvelle vie ?
Un MEURTRE…
Une rencontre
des MEURTRES…😱
Amis, embarquerez vous sur le Mandarin pour une croisière diabolique ou resterez-vous sur les bords de la Tamise..
Il faut choisir son camp.
Un verre de Bellini à la main depuis Portofino, Judith vous salue ! 😱
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