Jean CONTRUCCI : Les nouveaux mystères de Marseille – 12 – L’affaire de la Soubeyranne

Flag-FRANCE

INFOS ÉDITEUR

Jean CONTRUCCI - Les nouveaux mysteres de Marseille - affaire de la Soubeyranne
[amazon asin=2253086029&template=image&title=L%27affaire de la Soubeyranne]

Parution aux éditions JC Lattès en mars 2015

Parution aux éditions Livre de Poche en juin 2017

Lors d’une sortie familiale, Raoul Signoret se casse les dents sur une double énigme. Les grottes Loubière, proches du village de Château-Gombert, sur les hauteurs de Marseille, abritent toujours leurs trésors géologiques, mais l’entrée en est condamnée depuis la découverte jadis du cadavre profané d’une fillette. Si l’accès aux grottes est muré depuis onze ans, comment se peut-il que le ciment soit encore frais  ? Pourquoi a-t-on voulu dissimuler les traces d’effraction  ? La réponse sera macabre. Derrière le mur de briques gisent deux corps…

Toujours aidé par son oncle, le commissaire Eugène Baruteau, le reporter du Petit Provençal remonte la piste d’un sordide trafic qui le conduit jusque devant les grilles de La Soubeyranne, une riche propriété où il se passe d’étranges choses.

(Source : Livre de Poche – Pages : 416 – ISBN : 9782253086024 – Prix : 7,10 €)

L’AVIS

Partagez votre lecture dans les commentaires !

Jérome PEUGNEZ
Jérome PEUGNEZ
Co-fondateur de Zonelivre.fr. Il est le rédacteur en chef et le webmaster du site.

LAISSER UN COMMENTAIRE

Votre commentaire
Entrer votre nom ici

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

A découvrir

Peter MAY : La Trilogie Écossaise – Le braconnier du lac perdu

Opus final de la trilogie de Lewis, Le Braconnier du lac perdu est aussi le plus apocalyptique.

Serge BRUSSOLO : Le Cavalier du Septième jour

Le Cavalier du Septième jour, Serge BRUSSOLO, une guerre des cartels complètement folle qui ne te laisse pas une seule seconde de répit !

Frédéric DARD : Le tueur en pantoufles

Un texte est d’une modernité étonnante. L’humour noir de Frédéric Dard le pousse à désacraliser la mort