"Le Sixième Homme" se lit dans un premier temps comme un roman de suspense puis je trouve que l'on passe plus dans le roman noir dans la seconde partie.
Arnaldur Indridason dénonce avec virulence les dérives de la société islandaise : l’augmentation de la violence, le nombre croissant des viols et le mépris affiché par la justice envers les victimes.